Wong Kar-wai est de retour dans nos salles obscures. Pas avec un nouveau film, mais avec As Tears Go By, sa première réalisation fougueuse et pleine de promesses qui se refait une beauté avec une restauration 4k.
Six ans. En effet, il aura fallu six années, une pandémie et quelques confinements pour revoir un film de Park Chan-wook au cinéma. Après un passage réussi à la télévision avec son adaptation de La petite fille au tambour de John le Carré, on attendait fébrilement de savoir, parmi les nombreux projets annoncés du réalisateur sud-coréen, lequel allait être filmé, et ce fut le scénario original Decision to Leave qui fut retenu. Désormais en salles après un passage à Cannes, cette énième variation hitchcockienne est-elle un bon cru de son auteur ?
Wild Side Video nous permet de redécouvrir les chefs d'œuvre du studio Ghibli. Après une floppée de films édités l'année dernière, le temps est venu pour Je peux entendre l'océan de Mochizuki Tomomi, datant de 1993, d'entrer sur le devant de la scène. Texte par Maxime Bauer ; Bonus par Justin Kwedi.
Dix-sept ans après une œuvre séminale du cinéma d’horreur thaïlandais contemporain, Shutter, Banjong Pisanthanakun revient au sommet du genre avec The Medium, un inédit projeté au Festival du Film Coréen à Paris et disponible en DVD et Blu-Ray chez The Jokers. Cette fois il est seul à la réalisation mais l’œuvre est à l’origine une impulsion du cinéaste coréen Na Hong-jin qui devient le producteur. Dans la continuité à la fois de Shutter mais surtout de The Strangers, The Medium vient s’imposer comme une nouvelle référence du genre.
A la suite de En équilibre, Denis Dercourt revient contre toute attente avec un nouveau long-métrage… coréen ! Après avoir été largement diffusé sur le territoire sud-coréen, Vanishing est disponible depuis le 5 avril aux abonnés de Canal +. C’est l’adaptation du roman policier The Killing room de Peter May portée à l’écran par Yoo Yeon-seok […]
Quand deux réalisateurs passent 10 ans à écrire, tourner et monter un film dans un village montagneux de la région de Kyoto, cela donne Les Travaux et les Jours, un opus de 8 heures sur le quotidien de villageois, largement inspiré de faits réels, entre travail agricole, tâches ménagères, plaisirs simples et deuils. Une réflexion sur le temps et la mémoire.