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Chaque année, le Festival du Film Coréen en France (FFCP) met en avant un réalisateur ou une réalisatrice, et revient en détails sur sa jeune carrière, des premiers courts-métrages jusqu'au premier long, tous présentés aux spectateurs. Pour cette 18e édition, c'est Lim Oh-jeong qui est venue présenter son film Hail To Hell, un premier long qui a déjoué les attentes du public.
Ryoo Seung-wan est un incontournable du Festival du Film Coréen à Paris (FFCP). Chacun de ses films est un évènement, et tous furent projetés sur les toiles du cinéma Le Publicis. Cette année, il nous a fait l'honneur de venir accompagné de sa femme et productrice Kang Hye-jung pour nous parler de leur nouvelle collaboration : Smugglers, une comédie d'aventure sous-marine, qui met en scène un groupe de plongeuses se lançant dans la contrebande dans la Corée des années 70.
Nous avons la chance immense, lors du Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) 2022, de nous entretenir avec l'un des piliers et l'un des initiateurs de la vague du cinéma coréen qui a submergé la cinéphilie mondiale, Im Sang-soo.
Au Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) 2022, nous avons pu nous entretenir avec la jeune cinéaste Kim Jung-eun, venue présenter son premier long métrage, Gyeong-ah's Daughter, et ses courts métrages dans le cadre d'un Focus sur ses œuvres. L'occasion de faire la connaissance d'une jeune artiste qui traite des préoccupations de la Corée contemporaine avec une réelle acuité et un regard compatissant.
Il y a une dizaine d'années, la réalisatrice Jung Won-hee faisait partie de l'équipe de programmation du Festival du Film Coréen à Paris (FFCP). Cet entretien était donc une occasion particulière pour elle et pour nous, habitués du festival, de parler de son premier long-métrage, Doom Doom.
En ce début 2022, un drôle de petit film a bouleversé la filmosphère outre-Atlantique remportant l’adhésion du public, de la critique et des internets avec un consensus si positif qu’il en devenait suspect. Réalisé par les deux zigotos répondant au pseudonyme The Daniels, en raison de leur prénom en commun, et estampillé du label so indé A24, Everything Everywhere All at Once sort sur nos écrans pour une rentrée cinéma qui s’annonce on ne peut pas plus déjanté.