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Dans la foulée de la sortie de The Forest of Love et sa version Deep Cut, Sono Sion, le plus culte des cinéastes subversifs japonais contemporains nous offre une nouvelle pépite avec Red Post on Escher Street, projeté au Festival du cinéma nouveau de Montréal.
Il y a de cela deux ans, Fabien Mauro avait, via son livre Ishiro Honda, humanisme monstre, permis aux cinéphiles comme aux néophytes les plus curieux de découvrir la vie et l’œuvre du célèbre cinéaste japonais, créateur de l’incontournable Godzilla. Il doit sa renommée à ses films tournés dans le Japon d’après-guerre, principalement des films de monstres. Mais Honda Ishiro est un arbre, certes majestueux, mais qui cache la forêt d’une quantité hallucinante de films de genre tournés après la guerre. Et c’est cette passionnante et foisonnante partie de l'histoire du cinéma fantastique que Fabien Mauro nous conte dans son nouveau livre Kaiju, envahisseurs et apocalypse : l'âge d'or de la science-fiction japonaise.
Parmi les plus grands cinéastes japonais du siècle dernier, Uchida Tomu demeure assez discret en Occident. Le Détroit de la faim est pourtant un monument du film noir dont l’écho résonne sur les parois du Chien enragé ou d’Entre le ciel et l’enfer de Kurosawa. On peut retrouver ce film depuis 2009 en DVD chez Wild Side dans la collection « Les introuvables / l’âge d’or du cinéma asiatique ».
On continue notre tour du catalogue de la Korean Film Archive, en vous proposant les critiques des meilleurs films de la cinémathèque coréenne. Restauré en 2017, A Day Off de Lee Man-hee est un sommet du drame social coréen des années 60, décennie du marasme économique.
Nous poursuivons notre voyage dans le catalogue de la Korean Film Archive, qui met à disposition gratuitement et légalement pléthores de films coréens classiques sur les internets. En 1955, à peine deux ans après la «fin» de la Guerre de Corée, le sud-coréen Lee Kang-cheon réalisait Piagol, un film brutal, mécontentant toutes les idéologies.
La cinémathèque coréenne (ou Korean Film Archive) met en ligne depuis 2012 des films classiques coréens. Nous essaierons de vous parler des meilleurs d'entre eux à travers une série de critiques. Cette fois-ci, c'est le tour d'Early Rain de Jeong Jin-woo, sorti originellement en 1966 en Corée du Sud et restauré en 2017.