rester connecté
Mot de passe oublié ?
En un peu plus d'un mois, ce ne sont pas moins que deux films d'animation japonais qui ont fait leur apparition sur Netflix : Mon Oni à moi et The Imaginary. Si le premier, issu des studios Colorido, peine à se détacher de l'influence de Miyazaki pour un résultat oubliable, le deuxième, produit par le studio Ponoc, se montre beaucoup plus intéressant à découvrir.
Alors que le manga Haikyu!! est officiellement terminé depuis 2020, il restait encore quelques arcs narratifs à traiter dans sa version animée. Aussi, pour offrir aux fans une dernière chance de voir leurs personnages favoris sur un écran, l'intégralité des chapitres restants sera abordée dans deux longs-métrages. Le premier d'entre eux est désormais visible au cinéma depuis le 12 juin, grâce à Sony Pictures.
Pour célébrer comme il se doit les 120 ans de la naissance d'Ozu Yasujiro, l'éditeur Carlotta Films propose un coffret regroupant des films rares et inédits du maître japonais. Une collection de films qui vient compléter celui sorti il y a deux ans qui rassemblait ses long-métrages les plus connus. Et comme pour ce dernier, si les films sont toujours passionnants à revoir ou découvrir, les bonus qui les accompagnent le sont tout autant.
Après une adaptation française en live action réalisée par Philippe Lacheau qui vaut mieux que sa réputation le laisse penser, le célèbre nettoyeur et détective privé reprend du service dans un nouveau long-métrage produit au Japon pour Netflix. Un retour aux sources à tous points de vue, pour un résultat assez inégal mais non dénué de défauts.
Aux cotés des films inédits d’Ozu Yasujiro proposés dans le coffret édité par Carlotta Films, l’avant-dernier long-métrage du réalisateur, Dernier caprice, est également disponible. Un film étonnant et complexe, dans lequel les relations entre différentes générations sous un même toit n’ont jamais été aussi cruelles que tendres. Follow
Y a-t-il pire, dans la vie d'un salaryman japonais, que de voir une semaine de travail s'étirer jusqu'à en perdre toute énergie et joie de vivre ? A cette question, le réalisateur Takebayashi Ryo dans Comme un lundi, ose la pire des répliques : oui, il y a pire, et c'est revivre inlassablement la même semaine de galère encore et encore, sans aucune explication. Mais plutôt que d'en tirer un portrait amer et cruel de la vie du salarié moyen japonais, le metteur en scène opte pour la gaudriole et la farce la plus décomplexée possible. Après quelques passages en festivals, le film débarque dans nos salles grâce à Art House !