Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur deux ouvrages récents : Suzuki Seijun and Postwar Japanese Cinema de William Carroll et Le Paradigme Fukushima au Cinéma; ce que voir veut dire d’Élise Domenach.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur le coffret Blu-ray que l'éditeur britannique Third Window consacre à 4 films des années 80 signés Obayashi Nobuhiko pour la Kosakawa : Kadokawa Years: School in the Crosshairs ; The Girl who leapt through Time ; The Island closest to Heaven ; His Motorcycle, Her Island.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur ses dernières lectures et découvertes cinématographiques et artistiques.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils évoquent ici Anima, film chinois de Cao Jingling produit cet année.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils évoquent la sélection de cette année du festival Nippon Connection, qui s'est tenu en ligne au début du mois de juin. The Promised Land-2020: Takahisa Zeze Voice in the Wind-2020: Nobuhiro Suwa Red Post on Escher Street-2020: Sono Sion Kudakechiru tokoro o misete ageru-2020: Sabu
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils évoquent ici Kitano Takeshi et Anno Hideaki à travers les deux documentaires qui leur sont consacrés.