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Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre aujourd’hui ses réflexions sur la traduction par Ryan Cook de l'ouvrage Directed by Yasujiro Ozu de Hasumi Shigehiko.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre aujourd'hui ses réflexions sur Godzilla: Minus One de Yamazaki Takashi.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il se déplace en Corée pour nous livrer ici ses réflexions sur About Kim Sohee de July Jung en compagnie de sa réalisatrice et de Pascal Bonitzer.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur dernier film de Miyazaki Hayao : Kimitachi wa Do Ikiru ka?.
Juste sous vos yeux : un dialogue entre Eunkyung Shin et Stephen Sarrazin (lire l'avant-propos) ici autour de deux films : La Femme qui s’est enfuie (2020) de Hong Sang-soo et The Housemaid (2010) de Im Sang-soo.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions autour de Morita Yoshimitsu, à l'occasion de la rétrospective que lui consacre La Maison de la Culture du Japon à Paris du 11 mai au 7 octobre dans le cadre du cycle Les maîtres méconnus du cinéma japonais.
Posté le 10 août 2023 par Stephen Sarrazin
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur dernier film de Miyazaki Hayao : Kimitachi wa Do Ikiru ka?.