Mubi met à l'honneur ce mois-ci le film indépendant coréen Lucky Chan-sil, réalisé par Kim Cho-hee, que nous avions découvert à la 15ème édition du Festival du Film Coréen à Paris (FFCP).
Zhao Liang, dans l'ombre de Wang Bing, est aujourd'hui l'une des figures de proue du nouveau cinéma documentaire chinois. Reconnu dans les festivals du monde entier pour le regard acerbe qu'il porte sur la Chine contemporaine, ses dérives par extension, Zhao dédie I'm So Sorry, sa dernière réalisation en date, aux dangers et victimes collatérales de l'énergie nucléaire. Un incontournable de la sélection 2021 du Festival Allers-Retours.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur ses dernières lectures et découvertes cinématographiques et artistiques.
Durant les années 2000, les étals français de DVD ont vu fleurir de belles éditions des films de la compagnie Shaw Brothers, grâce aux éditeurs Wild Side et CTV. Ainsi, Chang Cheh et Liu Chia-liang ont pu être redécouverts. En 2021, Spectrum Films poursuit la tâche laissée par ses aînés et pour l'occasion, nous défriche des long-métrages inhabituels de la compagnie de Run Run Shaw. Penchons-nous sur le défrisant Holy Flame of the the Martial World de Tony Liu, sorti à Hong Kong en 1983.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils évoquent ici Anima, film chinois de Cao Jingling produit cet année.
Pas moins de quatre films de Cheng Yu-chieh, élu cinéaste de l’année par l’équipe de Filmosa, ont été sélectionnés lors de cette édition : Summer, Dream (2001), Yang Yang (2009), Unwritten Rules (2011), et le dernier en date, Dear Tenant (2017). Un mélodrame plus tragique et tourmenté que de coutume dans le paysage du cinéma romantique […]