Disparu des écrans français depuis Vengeance sorti chez nous en mai 2009, Johnnie To revient enfin avec La Vie sans principe (zappant au passage Don't Go Breaking My Heart... on a l'habitude avec les romances du réalisateur), dans lequel il s'attaque à la crise. Par Anel Dragic.
Après avoir filmé les déboires sentimentaux d’un prof d’université porté sur la bouteille et les femmes, Hong Sang-Soo revient aux affaires avec une Isabelle Huppert Lost in Translation, dans In Another Country. Par Jérémy Coifman.
Poursuite de la rétrospective du réalisateur japonais Shinji Sōmai avec Typhoon Club, l’une des œuvres les plus reconnues du cinéaste. Deux heures plus tard, nous sommes en face d’un monument du cinéma japonais qui restera ancré durablement dans l'esprit cinéphilique du spectateur.
Pour clôturer cette année 2012 très chargée et débuter celle de 2013 en fanfare, la Cinémathèque française propose une rétrospective de l’ensemble des œuvres du réalisateur japonais si méconnu, Shinji Sōmai. En guise de hors-d'œuvre, c’est le long métrage Moving (Ohikkoshi) qui a été sélectionné : choix judicieux tant par sa thématique intemporelle de la séparation et de la qualité d’interprétation des personnages. Par Julien Thialon
Présenté hors compétition dans le cadre du festival Tokyo Filmex 2012, Mekong Hotel, après avoir été spécialement programmé à la sélection « Un certain regard » du festival de Cannes de la même année, a fait l’objet d’une première au Japon. Suite à la projection, le réalisateur s’est livré à une séance de questions-réponses édifiante avec le public.
Il habite Paris, elle est à Tokyo. Ils sont réalisateurs, ils ont vécu ensemble. Pourquoi se sont-ils éloignés l’un de l’autre ? La question est posée par vidéo interposée. Paris Tokyo Paysage, de Jinsei Tsuji : deux villes, deux âmes, une histoire en damier, belle comme un poème, tendre et drôle comme la vie. À ne pas manquer.