Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Dans la continuité de son hommage à Tanaka Atsuko, il livre ses réflexions la nouvelle série animée de la saga Terminator, ses liens avec l'univers de Ghost In The Shell, et s'entretient avec l'actrice qui a prêté sa voix des années durant au major Motoko Kusanagi.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il rend ici hommage à Tanaka Atsuko, qui nous a quitté le 20 août dernier.
1963 est l'année où Suzuki Seijun a dépassé son rôle d'artisan de films de série B en leur insufflant un supplément artistique, dans un geste baroque. Détective Bureau 2-3 et La Jeunesse de la Bête sont les premières manifestations du "style" Suzuki : une esthétisation du réel qui tend vers l'absurde et l'abstraction.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il évoque ici l'exposition Theaster Gates: Afro-Mingei, qui se tient au Mori Art Museum de Tokyo du 24 avril au 1 septembre 2024.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre aujourd’hui ses réflexions sur le dernier film de Kitano Takeshi : Kubi.
Wisit Sasanatieng est l'un des cinéastes thaïlandais les plus en vue des 30 dernières années. Des Larmes du tigre noir à Red Eagle en passant par Citizen Dog, il a marqué le cinéma thaï de son empreinte et de son esthétique colorée, entre hommage, pastiche et modernisation de films de genre. Une manière de (re)découvrir le passé et d'appréhender l'évolution de la Thaïlande.