Depuis 10 ans déjà, durant les vacances de la Toussaint, a lieu à dans la capitale le Festival du Film Coréen à Paris. 10 ans que les spectateurs parisiens férus de cinéma asiatique et de culture coréenne ont trouvés leurs RDV. Pendant cette première décennie, ce petit festival a connu bien des mutations, a changé de nom, a fait le tour du quartier latin avant de s'installer confortablement dans les salles du Publicis. Arrivé à point nommé presque dix années après la naissance de la Nouvelle vague coréenne, cette première salve de films à succès qui ont portés le 7ème art coréen parmi les cinéphilies contemporaines incontournables, le FFCP a permis de dresser un premier bilan. Au fil de sa programmation il a dessiné un panorama des auteurs qui comptent, des genres les plus populaires mais aussi des moins représentés, de faire la lumière sur le cinéma indépendant, et de soutenir les premiers longs comme les courts de jeunes cinéastes qui deviendront peut être les grands de demain. Durant tout ce temps, il a éclairé les spectateurs sur la culture du pays, son histoire, son folklore et ses mœurs au travers de documentaires passionnants et des rétrospectives de films de patrimoine. Le FFCP c'est aussi les masterclass animées par Bastian Meiresonne, les rencontres avec les cinéastes et les acteurs, cette proximité avec ceux qui produisent et diffusent cet art et ce divertissement. Un événement qui réunit chaque année un public fidèle, autant séduit par la qualité de la sélection de films que de l'accueil chaleureux de l'équipe du festival et ses jeunes bénévoles en sweats colorés. C'est pour toutes c'est raisons et bien d'autres encore que nous sommes partenaires et soutenons ce festival. Pour marquer le coup et souffler en avance les bougies de ce dixième anniversaire nous avons interrogé David Tredler chef programmateur de la section Paysage du FFCP, qui a intégré l'équipe au cours de la sixième année. L'occasion pour nous de revenir avec lui sur le parcours du festival et d'avoir un aperçu de ce qui nous attends durant cette nouvelle édition.
Coin Locker Girl est le seul film asiatique sélectionné à la Semaine de la Critique du Festival de Cannes 2015. Que vaut ce long métrage coréen ? Réponse en mai mais, pour l'instant, direction le trailer !
Cette année, le Brussels International Fantastic Films Festival programme Roaring Currents, le fameux film détenteur du nombre d’entrées en Corée - 17,6 millions – surpassant de loin son prédécesseur The Host (13 millions). Le film mérite-t-il cet immense succès ?
Pour la 33ème année, le BIFFF se prépare à accueillir, à Bruxelles, les amateurs de fantasy, de fantastique et de thriller, pour une programmation encore une fois dantesque qui ne peut que rendre impatient les cinéphiles. Et, comme toujours, les amateurs de cinéma asiatique seront choyés par cette avalanche de films.
Le Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) a réussi plusieurs coups de force cette année : projection de nombreuses avant-première dont le succès au box office coréen Roaring Currents, présence de réalisateurs et d'acteurs, etc. Et quand le FFCP invite un acteur, ce n'est pas n'importe qui. En l’occurrence, cette année, c'est Kim Yun-seok qui a été convié ! Kim Yun-seok crève l'écran à chacune de ses apparitions, notamment dans The Chaser, The Murderer ou The Thieves. Il s'est plié au dur exercice de la Master Class !
Le FFCP a l’habitude de projeter les plus grands succès commerciaux coréens : citons Haeundae en 2010 ou Masquerade et The Thieves en 2012. Cette année, le festival programmait Roaring Currents, le fameux film détenteur du nombre d’entrées en Corée - 17,6 millions – surpassant de loin son prédécesseur The Host (13 millions). Le film mérite-t-il cet immense succès ?