En combo avec la formidable comédie romantique Shall We Dance?, Spectrum Films propose en vidéo Sumo Do, Sumo Don't, un film sportif du réalisateur Suo Masayuki, sorti au Japon en 1992. Un remake a vu le jour sous forme de série en 2022 sur Disney+.
Il y a quelque temps, nous avions découvert, cachée dans les tréfonds de Disney +, la délirante et hilarante série Tatami Time Machine Blues dont nous avions dit le plus grand bien. Et le moins que l'on puisse dire, après avoir regardé Time Shadows, c'est que la plate-forme de Mickey renferme d'incroyables pépites qui méritent largement le détour.
Sortie en catimini sur la plate-forme Disney + en décembre, la dernière production des studios Science Saru, fondés Yuasa Masaaki, mérite pourtant que l'on s'y attarde. Si le réalisateur de Inu-Oh n'est plus aux commandes comme ce fut le cas pour The Tatami Galaxy, ce n'est pas pour autant un signe d'absence de qualités. Bien au contraire, il s'agit ici d'une excellente surprise.
Au temps du règne des super-héros sur les grands écrans, deux royaumes disposaient des licences les plus lucratives et se disputaient sans pitié les parts de marché. Ne restaient pour les autres que de miettes. Dreamworks, le studio de Steven Spielberg, voyant que tous les champions américains étaient déjà sous contrat, se tourna vers le Japon, pays qui détient une richesse considérable de joyaux de la bande-dessinée que l'on prénomme manga. L'un des plus réputés, connu autrefois une certaine renommée sur les terres de L'oncle Sam, sous sa forme animée. Un film d'action cyber-punk aux forts accents philosophiques qui inspira, il y a vingt ans déjà, la célèbre trilogie matrixienne. Cette œuvre visionnaire adoubée par le grand James Cameron sort cette semaine dans les salles de cinéma sous la forme d'un blockbuster yankee. Nous avons pu juger de la greffe de ce classique de la SF dans sa nouvelle enveloppe. Voici donc les résultats de ce crash-test.
Les cinémas Gaumont Pathé organisent la 3e édition de La Grande Journée des Enfants le dimanche 18 janvier avec, notamment, la présence de Totoro !
La Belle et La Bête, conte maintes fois adapté sur tous les supports possibles et imaginables, ressort le 12 fevrier 2014 dans une nouvelle monture cinématographique produite par Pathé, sous l’égide de Christophe Gans, avec la belle Léa Seydoux et la bête Vincent Cassel.