Après La Femme insecte et La Ballade de Narayama, les ressorties en salles en version restaurée d'Imamura se poursuivent avec ce beau conte primitif, Le Profond désir des dieux.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ce mois-ci, premier bilan du 160 ème anniversaire des relations France-Japon.
La ressortie ce 8 août grâce à Carlotta du quatrième des sept films du regretté Edward Yang, A Brighter Summer Day, restauré dans sa version intégrale de presque quatre heures, est l’occasion idéale de se rappeler la virtuosité rare, sans emphase de son cinéma.
Detective Dee 2 nous offrait des images folles à travers une virtuosité rare et une générosité dont seul le cinéaste hongkongais a le secret. Dans le troisième volet de la saga, Tsui Hark, après une escape dans l’univers de Stephen Chow, intègre dans son maelstrom cinétique une réflexion sur le pouvoir des images et la croyance. Donc sur le cinéma.
Dans le cadre de la rétrospective Ozu qui a débuté le 1er août et qui voit 10 de ses films restaurés en 2K ou 4K, penchons-nous aujourd'hui sur Bonjour. Légèreté burlesque teintée de mélancolie face au passage du temps et tranquillité de l’instant voilée par l’inquiétude face à l’avenir : l’un des Ozu les plus accessibles. Tentative de discours sur un film qui démontre l’inutilité des mots dans notre monde contemporain.
Après la découverte de Belladona il y a deux ans, Eurozoom édite les deux premier volets de la trilogie Animerama du Studio Mushi : Mille et Une Nuits et Cleopatra.