La 42ème édition du festival Cinéma du réel n'a malheureusement pas pu se dérouler physiquement. Toutefois, une partie de la sélection se trouve sur la toile, et notamment, We Still Have to Close our Eyes réalisé par John Torres qui nous plonge dans un Manille sous tension. Une oeuvre étrange et hybride qui intrigue et glace le sang.
La 42ème édition du festival Cinéma du réel n'a malheureusement pas pu se dérouler physiquement. Toutefois, une partie de la sélection se trouve sur la toile, et notamment, le court-métrage Signal 8 de Simon Liu. Ce film de 14min, se déroulant à Hong Kong, est difficilement résumable, tant il s’expérimente, plus qu’il ne se décrit.
C’est grâce à Eurozoom que Promare, la nouvelle bombe d'Imaishi Hiroyuki (Dead Leaves) et de son studio Trigger (en coproduction avec avec XFlag et Sanzigen), est arrivé dans les salles françaises l'été dernier. Le film devait faire son apparition dans vos salons en avril, mais compte tenu de l'actualité, sa sortie a été avancée au 17 mars en VOD. Un long-métrage d’animation bouillant d’inventivité qui pourrait se résumer en quelques mots d’ordre : secouer, exploser, et surtout avoir du style.
Alors que le cinéma chinois montre un grand dynamisme depuis 2019, les éditions Hémisphères proposent le Dictionnaire des cinémas chinois, un ouvrage pour le moins complet sur le sujet, dirigé par Nathalie Bittinger, maître de conférence en études cinématographiques à l’université de Strasbourg. Présenté sous la forme d’un abécédaire, des films majeurs et plus mineurs […]
Retour sur le cinéma-thérapie d'un des plus grands cinéastes de sa génération aussi bien en Thaïlande que dans le monde : Apichatpong Weerasathakul, en attendant de pouvoir découvrir son nouveau film, quand le Festival de Cannes pourra se tenir. Par Kephren Montoute, Sidy Sakho & Jeremy Coifman.
Comme l’on s’en souvient à l’époque, Princesse Mononoké était supposé être le dernier film de Miyazaki Hayao, son œuvre testament avant une retraite bien méritée. Cette apothéose était au cœur de la richesse thématique, de l’ambition et l’aboutissement visuels du film. C’est également la démarche de Hisaishi Joe dont la bande originale flamboyante est un sommet de sa collaboration avec Miyazaki. Retour de ce film, et sa musique, à l'occasion de sa mise en ligne sur Netflix.