Le Brussels International Fantastic Film Festival projette énormément de films sombres ou violents. Pourtant, le spectateur trouve souvent, au sein de la programmation, un ou deux film où les enfants sont admis. Saving Sally, en compétition 7ème parallèle, est de ceux-ci. Projeté à 14h un dimanche lors de cette 35ème édition du BIFFF, le film n'a, sans surprise, pas attiré la plus grande foule. Pourtant, les spectateurs venus voir ce conte philippin ont visiblement été conquis, comme l'ont prouvé les applaudissements nourris face à ce spectacle surprenant. Et si le jury n'a pas récompensé le film, la mention spéciale qu'il lui a attribué a bien prouvé qu'il avait été sensible à Saving Sally.
Après son très réussi conte rohmérien Au revoir l’été et avant son Harmonium marqué par sa maîtrise des codes du cinéma japonais contemporain, Fukada Koji a fait Sayonara. Un film sur la fin de l’homme, du Japon. Un film sur la lumière, son absence et sa recherche.
Alors qu'il venait à l'Okinawa International Movie Festival présenter son nouveau film : Karanukan de Hamano Yasuhiro, Gackt a accepté de répondre à nos questions. Rencontre avec la légende !
C’est grâce à l'Okinawa International Movie Festival que nous avons pu rencontrer le talentueux réalisateur de Dans un recoin de ce monde, Katabuchi Sunao. Alors que le sublime film d’animation sortira en France le 20 septembre après un passage par le Festival International du Film d’Animation d’Annecy 2017, nous avons parlé avec son auteur de manga, d’Hiroshima et de… pourquoi les femmes portaient des pantalons pendant la guerre !
Shinzuke Sato est habitué des adaptations de manga. Il s'est chargé, outre cette suite de Death Note, de Gantz, d'I Am A Hero (récompensé l'année dernière du Corbeau d'or au BIFFF) et il travaille actuellement sur Bleach. Cette 35ème édition du Brussels Intarnational Fantastic Film Festival permet de découvrir cette nouvelle déclinaison de l'univers de Death Note, hors-compétition
C'est en 2015, à la 21ème édition de L’Étrange Festival, alors que nous arrivions enfin au bout de notre marathon cinéphile de pellicules déviantes, nous fûmes récompensés par l'équipe de programmation qui avait préparé un bouquet final qui restera dans les annales. Sans trop de conviction, nous nous étions rendus à cette séance de clôture et rien ne nous avait préparé au choc Baahubali. Le film nous avait, en l'espace de 2h30, rassasiés de tous les rendez-vous manqués avec les films à grand spectacle hollywoodiens qui faisaient triste mine cette année-là. Le nom de ce nouvel héros indien - enfin, nouveau pour les profanes - avait donné un autre sens au mot épique. C'est peu dire que nous étions impatients de découvrir le deuxième et ultime volet de cette saga mythique. Et c'est avec un peu d'avance sur nos calendriers que nous avons pu le découvrir. Le moment est de savoir si S. S. Rajamouli est parvenu à transformer l'essai.