Chers Eastasiens, vous n’êtes pas sans savoir que du 11 au 18 octobre, se déroule à Paris le 6ème Festival Franco-Coréen du Film au cinéma le St-André-des-Arts. Notre sympathique équipe est bien évidemment présente pour chroniquer au jour le jour les films présentés, et la bonne nouvelle, c'est que chaque métrage est projeté à deux reprises durant cette semaine consacrée au Pays du Matin Calme. Donc, si vous vous demandez quels sont les prochains films à voir, les lignes suivantes devraient vous éclairer !
Sony sort le grand jeu pour son PSN (dans l'espoir de faire oublier un début d'année chaotique ? ) et la 3DS, petit à petit, fait son nid. Quant au focus, il se penchera sur une tendance bien actuelle : la guerre de l'industrie contre le marché de l'occasion. Par Tony F.
Alors que la relève arrive avec la découverte de cinéastes comme Leon Dai ou Chung Mong-Hong, retour sur le chef de file de la nouvelle vague Taïwanaise : Hou Hsiao Hsien. Par Victor Lopez.
Cette semaine dans Insert Coin, les yeux se tournent vers les éditeurs de tout bord visiblement bien décidés à faire renaître tous les grands jeux passés sur nos machines actuelles... Quand préservation de la culture rime avec facilité. Par Tony F.
La sortie d'un coffret Stanley Kwan en France ravira autant qu'elle étonnera. Le réalisateur auteuriste de Hong Kong n'a en effet jamais rencontré le succès, autant critique que public dans notre beau pays où on lui préfère encore l'indétrônable Wong Kar Wai. Un peu comme si le cinéma indépendant de Hong Kong ne pouvait avoir plus d'un représentant chez nous. On avait en effet pu voir il y a quelques mois la sortie furtive de Final Victory de Patrick Tam, dont le nom du réalisateur était mis autant en avant que celui de son scénariste (WKW donc !). Et la comparaison avec le metteur en scène de Chungking Express n'est pas anodine. Issus de la même génération, Kwan commence la mise en scène en 1985 avec Women, succédant à la nouvelle vague locale apparue à la fin des années 70. Ils partagent également un goût prononcé pour une mise en scène maniérée et des personnages féminins. C'est donc dans l'univers particulier de ce réalisateur que le coffret édité par HK vidéo nous permet de plonger, au travers de trois films importants de sa filmographie : Love Unto Waste (1986), Rouge (1988) et Center Stage (1992).
Pourquoi Fumito Ueda ? Eh bien parce qu'au moment où vous lirez ces lignes, l'attente jusqu'à la sortie de Ico & Shadow of the Colossus Classics HD se comptera en heures, et que ces deux chefs d'oeuvres absolus méritent bien un peu de notre attention à tous. Ne vous inquiétez pas, ça ne sera pas long, la carrière de l'homme est plus brève que l'espérance de vie d'un goomba (mais aussi bien plus palpitante). Par Tony F.