Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ce mois-ci, retour sur le dernier film du réalisateur de Senses, présenté en compétition à Cannes en attendant sa sortie française en janvier 2019.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ce mois-ci, premier bilan du 160 ème anniversaire des relations France-Japon.
Ce 1er août, Carlotta nous fait le plaisir de sortir en salles 10 grands films d'Ozu Yasujiro en version restaurée 2K et 4K. Une belle occasion pour revenir sur ce grand cinéaste, qui apparaît certainement dans l'histoire comme l'un des réalisateurs qui, au fil de ses œuvres, a su construire le mieux un univers original et personnel. Il est frappant de découvrir à quel point les thèmes de ses films s’emboîtent les uns les autres avec une certaine logique.
Il y deux ans de cela, nous fêtions les 60 ans du Roi des monstres, Godzilla. Monstre sacré parmi les créatures du cinéma fantastique, il est le fruit de l'imagination d'un homme appelé Honda Ishiro, réalisateur japonais. Son travail aura influencé un grand nombre de cinéastes contemporains (Guillermo del Toro par exemple) quand il n'aura pas été remaké de plus ou moins belle manière (les versions d'Emmerich et Edward étant aux extrêmes d'un point de vue qualitatif). En ce qui concerne Fabien Mauro, Honda aura été une formidable porte d'entrée sur le cinéma japonais. Et quoi de mieux pour lui rendre hommage que de lui consacrer un livre, entre biographie et analyse de son œuvre, intitulé Ishiro Honda, humanisme monstre.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ce mois-ci, zoom sur un festival incontournable au Japon : le Tokyo Filmex.
Miyazaki, Oshii, Rintaro, Otomo … Des auteurs majeurs de l’animation japonaise, dotés d’un univers et de thématiques forts et personnels qui s’imposèrent progressivement au Japon puis à une reconnaissance mondiale. En l’espace de quatre films, Satoshi Kon était devenu l’égal en tout point de ces icônes vivantes et alors que sa carrière s’apprêtait à emprunter un nouveau cycle passionnant, le sort (soit, pour être plus précis, un cancer foudroyant ne lui laissant aucune chance) en a décidé autrement. Alors que le cinéma Le Brady organise une rétrospective autour du regretté cinéaste, portrait à l'occasion de la sortie en salles de Perfect Blue.