En un peu plus d'un mois, ce ne sont pas moins que deux films d'animation japonais qui ont fait leur apparition sur Netflix : Mon Oni à moi et The Imaginary. Si le premier, issu des studios Colorido, peine à se détacher de l'influence de Miyazaki pour un résultat oubliable, le deuxième, produit par le studio Ponoc, se montre beaucoup plus intéressant à découvrir.
Afin de s'échapper au début de l'été, MUBI propose de se plonger dans une sélection de road movies dès le 19 juillet. Dans la sélection figure Kaili Blues de Bi Gan, réalisé en 2015.
Comme pour consolider sa place de pape du cinéma populaire indonésien, Joko Anwar nous propose une œuvre sérielle sur Netflix. Entre la volonté d’épouser ses influences pulp et celle de tutoyer les cinéastes internationaux nouveaux « maîtres de l’horreur », Nightmares and Daydreams est une œuvre singulière. Peut-être la moins audacieuse, mais celle qui serait […]
Sur Mubi, nous pouvons retrouver actuellement un film de Zhang Yuan, l'un des pionniers de la sixième génération du cinéma chinois. East Palace, West Palace, réalisé en 1996 et adapté d'une nouvelle de Wang Xiaobo, est communément admis comme étant le premier film de Chine continentale à traiter frontalement le sujet de l'homosexualité.
Entre les œuvres pour le cinéma, Park Chan-wook cultive une autre œuvre à la télévision. Sur le canevas d’adaptation de romans d’espionnage, le cinéaste expérimente les possibilités de son propre langage cinématographique autant que le potentiel politique de l’esthétique singulière dont il s’est fait maître-héritier. Après The Little Drummer Girl d’après John Le Carré pour la BBC en 2018, c’est Le Sympathisant d’après Viet Thanh Nguyen pour HBO. Une plongée en double aveugle dans le monde souterrain de l’espionnage vietnamien durant la guerre contre l’envahisseur américain.
MUBI nous permet de (re)découvrir le sublime A Brighter Summer Day du regretté Edward Yang.