Le Brussels International Fantastic Film Festival est l'occasion de découvrir des cinématographies peu diffusées chez nous, exepté en festival. Ainsi, cette 34ème édition proposait Demon, co-production israëlo-polonaise, permettant de voir un film east-asien concourir pour le prix européen - et remporter le Méliès d'argent.
Lors de cette 34ème édition du Brussels International Fantastic Film Festival, plusieurs films taïwanais étaient à l'honneur. Grâce à The Bride (hors-compétition) et The Tag-Along, il était possible de découvrir une tentative assez intéressante de renouer avec l'horreur japonaise post-ring, tout en utilisant le vivier des légendes locales. The Tag-Along était intéressant par certains côté, mais pas toujours réussis. Qu'en est-il de The Bride ?
La 34ème édition du Brussels International Fantastic Film Festival a décidément mis Taïwan à l'honneur. Entre un film de marionnettes, des films d'horreur, et ce Laundryman emmenant ses spectateurs sur le terrain de la comédie fantastique d'action, le BIFFF permit un petit tour d'horizon de la production fantastique taïwanaise actuelle. Présenté hors-compétition, que valait-il donc ?
Le Brussels International Fantastic Film Festival a toujours aimé mettre en avant le cinéma d'animation, qui œuvre depuis toujours dans le fantastique au sens large cher au BIFFF. Cette année, parmi les pépites d'animation présentées, Seoul Station, en compétition internationale, méritait amplement le détour, avec son histoire d'invasion zombiesque dissimulant une tétanisante critique de la société coréenne.
Le Brussels International Fantastic Films Festival a toujours aimé les thrillers coréens, et le prouve encore cette année. En plus d'une rétrospective centrée sur le réalisateur de l'excellent Veteran, une grande sélection de films était projeté durant la 34ème édition du BIFFF. Parmi eux, Exclusive : Beat The Devil's Tattoo concourrait pour le prix du thriller.
La 34ème édition du Brussels International Fantastic Film Festival permettait de découvrir, sur grand écran et en 3D, un wu-xia pian de marionnettes taïwanais. Le film, présenté en compétition internationale, a reçu une mention spéciale du jury, qui ne s'est pas trompé en voulant récompenser l'audace et l'inventivité du film.