En 1998, le public français pouvait découvrir au cinéma Le Festin chinois de Tsui Hark. Pour notre plus grand bonheur, le film ressort en salles cette semaine !
Pour son deuxième long-métrage, film d'ouverture d'Un Certain Regard à Cannes cette année, l'auteur du beau Diamant noir fait le pari du dépaysement. Une réussite.
Grand auteur reconnu pour l’adaptation des arts scéniques sur grand écran, Ichikawa Kon incarne la modernité japonaise à l’aune de l’esthétique théâtrale classique. La Vengeance d’un acteur (1963), récemment restauré en 4k par la Kadokawa, est en salles aujourd'hui après une sortie en combo DVD/Blu-Ray en décembre 2020.
On découvre en salles cette semaine un film d'animation présenté en compétition à Annecy et dont on n'avait pas entendu parler il y a encore quelques mois : Josée, le tigre et les poissons, premier long-métrage de Tamura Kotaro.
Dans la douce et tendre tradition japonaise des peintures de quartiers populaires, La Mère (1952) de Naruse Mikio ne fait exception. Véritable bijou de pudeur autant que de finesse et de sensibilité, disponible dans nos salles françaises dès le 9 juin, suite à une sortie repoussée.
Un Printemps à Hong-Kong sort dans les salles françaises aujourd'hui, tout auréolé de son joli succès en festivals. Sur un sujet doublement tabou, une histoire d'amour entre deux hommes âgés, Ray Yeung confronte devoir et désir au crépuscule d'une vie entière à se cacher.