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À l'occasion de la sortie en DVD le 15 février de Fantasia, édité par Blaq Out, retour sur la dernière oeuvre du grand Wang Chao, que nous avions pu rencontré au Festival des Cinémas d'Asie de Vesoul 2015.
A l'occasion de l'avant première de The Monkey King 2 en 3D de Soi Cheang, premier film chinois à sortir simultanément en salles en Chine et dans le reste du monde, nous avons eu le plaisir de nous entretenir avec Giselle Chia, actrice malaisienne venue en France pour promouvoir le film. Cette jeune et charmante actrice débutante fait ses premiers pas dans une production d'envergure et joue l'un des trois démons qui accompagnent le personnage de Baigujing interprétée par la sublime Gong Li. Une expérience qui, on l'espère, sera fructueuse.
La petite perle, et le lauréat, de cette édition 2015 du Festival Kinotayo fut 100 Yen love. Le nouveau film de Take Masaharu est un conte initiatique baigné dans un peinture sociale des classes défavorisées du Japon contemporain. Comme dans tout bon film de boxe, le vrai combat se passe en dehors du ring, et la ténacité du personnage d'Ichiko a séduit le public parisien. Une performance physique à laquelle la formidable actrice Ando Sakura, découverte dans Love Exposure de Sion Sono, apporte force et sensibilité, sentiments transcendés par la subtilité de son jeu. Nous nous sommes entretenus en face à face avec l'auteur du film.
A l’occasion du festival Kinotayo, nous avons eu l’opportunité de nous entretenir avec la documentariste Mikami Chie, réalisatrice de We Shall Overcome. Nous sommes revenus sur son parcours de journaliste et sur sa passion pour l’île d’Okinawa, sa culture et ses habitants. Elle a pu ainsi nous donner un complément d’informations afin de mieux comprendre son engagement […]
C’était l’événement du Festival du film japonais contemporain Kinotayo 2015 : la venue du cinéaste Tsukamoto Shinya, chef de file du cyberpunk nippon avec la saga des Tetsuo. Invité à Paris pour présenter sa dernière œuvre, Fires On The Plain – une nouvelle adaptation du roman Nobi, déjà porté à l’écran en 1959 par Kon Ichikawa (lire notre critique ici) – le cinéaste nous a longuement parlé de cette plongée immersive et nécessaire dans l’horreur de la guerre, avant de nous abandonner pour une séance de Love de son ami Gaspar Noé, qu’il ne voulait rater sous aucun prétexte. On lui demandera la prochaine fois si le film lui a plu, l’occasion de poursuivre une discussion avec un réalisateur aussi charmant disponible, que ses films sont violents et malaisants. Par Marc L'Helgoualc’h et Victor Lopez.
Dans le cadre du cycle Séoul Hypnotique a été organisée une carte blanche à Lee Yong-kwan, directeur du Festival international du film de Busan (BIFF). Parmi les films sélectionnés était projeté I Came From Busan du cinéaste indépendant Jeon Soo-il, plus connu en France pour ses films La petite Fille de la terre noire, Entre chiens […]