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Mot de passe oublié ?
Après bientôt vingt-cinq ans, une histoire des liens tissés entre le Japon et la production cinématographique et télévisuelle coréenne au XXIe siècle pourrait commencer à s’écrire.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions autour de Suzume de Shinkai Makoto et The Makanai de Kore-eda Hirokazu... et les producteurs qui ne sauraient choisir.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur deux ouvrages récents : Suzuki Seijun and Postwar Japanese Cinema de William Carroll et Le Paradigme Fukushima au Cinéma; ce que voir veut dire d’Élise Domenach.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur le coffret Blu-ray que l'éditeur britannique Third Window consacre à 4 films des années 80 signés Obayashi Nobuhiko pour la Kosakawa : Kadokawa Years: School in the Crosshairs ; The Girl who leapt through Time ; The Island closest to Heaven ; His Motorcycle, Her Island.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur l'œuvre et la carrière de Tanaka Kinuyo.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions sur ses dernières lectures et découvertes cinématographiques et artistiques.