À l’occasion de la sortie de Detective Dee, retour sur la dense filmographie de Tsui Hark ! Première partie sur l’œuvre d’une incroyable richesse réalisée entre 1979 ( Butterfly Murders) et 1989 ( Le Syndicat du crime 3). Par East Asia.
Depuis sa critique acerbe du dernier Tsui Hark, Olivier Smach reçoit régulièrement chez lui des souches d’anthrax envoyées par des gardiens du temple prêts au sacrifice pour préserver l’honneur du barbichu. Le poids qui pesait sur mes épaules était donc énorme : “et s’il m’arrivait de ne pas aimer le film ?” me disais-je. L’heure de la critique est arrivée et sans langue de bois !
La sortie en salle de Detective Dee est un événement cinématographique de taille. Rares sont en effet les blockbusters asiatiques à nous parvenir, plus rares encore sont ceux qui sortent au cinéma. Depuis le succès mitigé des Trois Royaumes de John Woo, même en version courte, les distributeurs se montrent bien frileux, et les films à grand spectacle atterrissent presque exclusivement dans nos salons, au mieux en DVD, au pire en Divx.
La sortie française en DVD de la version longue des Trois Royaumes, grande fresque épique de John Woo, est l’occasion de se pencher sur la renaissance du genre le plus populaire de Chine : le Wu Xia Pian, ou film de sabre, tombé en désuétude après la rétrocession de HongKong à la Chine en 1997, mais revenant avec force au tournant des années 2000. Par ictor Lopez.
De retour du 13ème Festival du film asiatique de Deauville, East Asia vous propose de faire le point sur une édition enthousiasmante, malheureusement assombrie par une actualité bien triste. Par Victor Lopez.
Olivier Smach tombe amoureux de Jay Chou ? Victor Lopez dit presque du mal d’un Hong Sangsoo ? Yuen Woo-Ping surpasse Tsui Hark ? Deauville, le festival où l’impossible devient possible ! Par Victor Lopez et Olivier Smach.