Au sein des films sélectionnés au festival Kinotayo, Okiku and the World, réalisé par Sakamoto Junji, fait figure d'exception, de par son esthétisme en noir et blanc et de par sa situation historique, le Japon de l'ère Edo. Un contexte bien connu pour les amateurs de cinéma classique nippon, pour un film qui peut surprendre à plus d'un titre.
La Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) consacre une rétrospective au réalisateur Morita Yoshimitsu. L’occasion de découvrir une œuvre riche, passionnante, subversive et encore injustement méconnue hors du Japon. On évoque Sorekara, une merveille de spleen et de mélancolie adaptant magnifiquement le roman Et puis de Soseki Natsume.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions autour de Morita Yoshimitsu, à l'occasion de la rétrospective que lui consacre La Maison de la Culture du Japon à Paris du 11 mai au 7 octobre dans le cadre du cycle Les maîtres méconnus du cinéma japonais.