Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre aujourd’hui ses réflexions sur le dernier film de Kitano Takeshi : Kubi.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre aujourd’hui ses réflexions sur le dernier film de Miyake Sho : All The Long Nights ; et nous offre un entretien avec le cinéaste. Le film sortira prochainement en France sous le titre Jusqu'à l'aube.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre aujourd’hui ses réflexions sur la traduction par Ryan Cook de l'ouvrage Directed by Yasujiro Ozu de Hasumi Shigehiko.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre aujourd'hui ses réflexions sur Godzilla: Minus One de Yamazaki Takashi.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions autour de Morita Yoshimitsu, à l'occasion de la rétrospective que lui consacre La Maison de la Culture du Japon à Paris du 11 mai au 7 octobre dans le cadre du cycle Les maîtres méconnus du cinéma japonais.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions autour de Suzume de Shinkai Makoto et The Makanai de Kore-eda Hirokazu... et les producteurs qui ne sauraient choisir.