L’année 2024 fut faste pour les réalisatrices indiennes au sein des festivals internationaux. Après le succès de Payal Kapadia et Sandhya Suri dans les salles, c’est Shuchi Talati qui avait fait sensation en août avec, elle aussi, un premier long-métrage. Girls Will Be Girls, prix du Public à Toronto, est une délicate fable d’apprentissage qui navigue finement entre premiers émois et liens mère-fille dans un milieu cossu au pied des montagnes de l’Himalaya. Co-produit en partie par la France, le film est à présent disponible en DVD chez Nour Films.
L’année 2024 est faste pour les jeunes réalisatrices indiennes au sein des festivals internationaux. Avant le succès de Payal Kapadia et Sandhya Suri à Cannes, c’est Shuchi Talati qui avait fait sensation à Sundance en janvier avec, elle aussi, un premier long-métrage. Girls Will Be Girls, prix du Public à Toronto, est une délicate fable d’apprentissage qui navigue finement entre premiers émois et liens mère-fille dans un milieu cossu au pied des montagnes de l'Himalaya. Co-produit en partie par la France, le film est en salles à partir du 21 août.
C’est le retour en gloire du cinéma indien au Festival de Cannes. Un miracle qu’il faut attribuer à la jeune réalisatrice Payal Kapadia, qui met fin à 30 ans d’indifférence et d’absence de l’industrie au sein des sélections officielles. Son premier long-métrage, All We Imagine As Light, a reçu le Grand Prix d'un jury présidé cette année par Greta Gerwig.