Fireworks de Takeuchi Nobuyuki arrive dans les salles salles françaises le 3 janvier. Un beau film d'animation placé sous le signe du spleen à la Shunji Iwai.
Bonjour à tous, et bienvenue sur East Asia pour le seul Podcast français consacré au cinéma asiatique. Au sommaire de l’épisode 52, une émission consacrée au cinéma japonais, où l'on ne parle presque pas de Sono Sion ! Le bilan d'une fin d'année riches en films en salles (de Bangkok Nites à Oh Lucy !), en festivals (Kinotayo, JoJo's Bizarre Adventure au PIFFF) qui permet de confirmer la bonne santé du cinéma japonais en 2017 (ou pas) en compagnie de Gael Martin (de Cinématraque), Elias Campos, Kephren Montoute, Justin Kwedi, et Victor Lopez comme présentateur. Bonne écoute !
Avec les fêtes de fin d’année, vient le temps des bilans et du traditionnel TOP 10 de la rédaction. Une année qui vient couronner les cinéastes prolifiques (Hong Sang-soo, Kurosawa Kiyoshi, Fukada Koji – qui ont chacun réalisé entre 2 et 4 films en 2017, tous au moins cités une fois – profitant de l’absence, une fois n’est pas coutume, de Sono Sion de notre classement), mais qui vient surtout confirmer la bonne santé du cinéma japonais, capable de produire à la fois des films d’auteurs exigeants (Sayonara), des Blockbusters de qualité (Shin Godzilla), des films de genre mémorables (Creepy) et des œuvres complètement hors-normes (Happy Hour, la fresque de 5 heures 30 qui nous a ébranlée lors en début d’année, Bangkok Nights), sans oublier la vitalité du cinéma d’animation (Dans un recoin de ce monde, your name.). L’autre tendance de ce classement tend à montrer que les œuvres les plus originales n’arrivent pas forcement jusqu’à nos salles de cinéma avec des sorties nationales, et qu’il faut se déplacer en festival pour voir les plus beaux moments de cinéma de l’année : c’est Kinotayo qui nous a proposé Happy Hour, le PIFFF Shin Godzilla, le FFCP The Battleship Island… En espérant que le plus grand nombre puisse les découvrir en 2018, toute l’équipe d’East Asia vous souhaite une très belle année !
Le réalisateur japonais d'origine coréenne, Lee Sang-il, offre avec son nouveau film, Rage, projeté lors de l'édition 2017 du festival Kinotayo une chronique cruelle du Japon contemporain. A l’aide d’un casting cinq étoiles, il dépeint des individus rongés par le doute, et révèle ainsi le malaise d’un pays.
Un court-métrage mettant en scène Zatoichi et Predator ? Oui, cela existe grâce à Okabe Junya et vous pouvez le regarder en intégralité sur internet !
C’est dans un magnifique écrin que Carlotta nous propose les 6 œuvres de Hou Hsiao-Hsien.