Cette année, le Festival des 3 Continents permet au grand public de découvrir gratuitement des œuvres fortes. Ce soir sera disponible le deuxième long-métrage du cinéaste vietnamien Phan Đăng Di, Mekong Stories.
Pour les cinéphiles amateurs de cinéma asiatique et désireux de découvrir de nouveaux réalisateurs, 2020 est une bonne année puisque ce n'est pas moins que deux films du méconnu réalisateur taïwanais Chung Mong-hong qui sont visibles, Godspeed (en DVD/Blu-Ray chez Spectrum Films) et A Sun, disponible sur Netflix. Et c'est à ce film multi-récompensé aux Golden Horse Film Festival and Awards que nous allons nous intéresser.
Un an après la célébration du centenaire du cinéma coréen, et le "phénomène" mondial Parasite, le dramaturge, metteur en scène, scénariste et réalisateur Kang Chang-il propose de revenir aux sources avec Les débuts du cinéma en Corée. Reposant sur un impressionnant travail de documentation, l'ouvrage publié aux Editions Ocrée plonge le lecteur dans les origines d'un cinéma hybride, construit au gré du contexte historique et social de son pays.
Cette année, le Festival des 3 Continents permet au grand public de découvrir gratuitement des œuvres fortes. Ce soir sera disponible le premier long-métrage du cinéaste chinois Bi Gan, Kaili Blues.
Issu de la même fournée que Le Goût de la cerise, Potemkine Films et Mk2 Films nous ont gratifiés d'une solide édition vidéo d'un second film majeur d'Abbas Kiarostami, Le Vent nous emportera, sorti en salles en 1999.
A la suite d’un premier opus nous plongeant dans l’horreur et l’ignominie des camps de travail japonais, Kobayashi Masaki réitère et pousse le vice plus loin encore. Pour rappel, La Condition de l’homme est une fresque de guerre ciselée en trois parties : Partie I : Il n’y a pas de plus grand amour (1959) ; Partie II : […]