Retour sur la semaine du 18 au 24 avril 2018, pour découvrir les films qui ont reçu le meilleur accueil en Chine.
Mary-X propose de redécouvrir sur grand écran le chef-d'oeuvre de Imamura Sohei en version restaurée. On vous offre ici vos invitations valables dans tous les cinémas proposant le film à partir du 30 mai.
Un nouveau festival débarque à Paris ! Le Filmosa Festival, dédié au cinéma taïwanais, se déroulera du 8 au 10 juin à la Filmothèque du Quartier Latin.
Le 16 mai est arrivé en salles 14 Pommes, le nouveau film de Midi Z (Adieu Mandalay). Dans ce documentaire, le réalisateur taïwanais d'origine birmane nous emmène dans son pays d'origine pour nous introduire à la vie des moines bouddhistes qui n'échappe pas aux évolutions de la société.
Egalement connu sous le pseudonyme de Run, Guillaume Renard est l’une des figures emblématiques des éditions Ankama. En 2003, il intègre le collectif Semper-Fi pour lequel il montre déjà ses talents d’illustrateur et de designer. Il rallie Ankama trois ans plus tard et donne naissance à Mutafukaz, sa première bande-dessinée. Il en lance l’adaptation cinématographique en 2009, fruit de l’association d’Ankama Animation et du Studio 4°C, l’une des plus prestigieuses sociétés d’animation japonaises. En parallèle, il crée le Label 619, toujours au sein d’Ankama, et lance en 2010 la série horrifique DoggyBags. Après plus de huit ans de conception, Mutafukaz est présenté pour la première fois en juin 2017 au Festival international du film d’animation d’Annecy, puis à L’Étrange Festival. Après plusieurs mois de suspense, le film sort enfin en salles. Guillaume Renard revient sur sa première expérience de metteur en scène sur Mutafukaz, partagée avec son homologue Nishimi Shôjirô.
Les Éternels semble conclure en cycle pour Jia Zhang-ke. Il nous offre une œuvre qui pourrait contenir toutes les autres si nous nous laissons bercer par sa quête poétique qui n’est pas une quête de sens, mais de sensations. Le dernier film du cinéaste chinois ressemble à ses deux précédents, mais pourtant l’œuvre n’a pas la même résonance. Dans le mouvement circulaire qui berce le monde, le cinéma de Jia Zhang-ke a finalement fait un tour complet. Et c’est là que repose la beauté, voire la pureté du titre internationale : Ash is the Purest White.