À l’occasion de la sortie de Detective Dee, retour sur la dense filmographie de Tsui Hark ! Première partie sur l’œuvre d’une incroyable richesse réalisée entre 1979 ( Butterfly Murders) et 1989 ( Le Syndicat du crime 3). Par East Asia.
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Depuis sa critique acerbe du dernier Tsui Hark, Olivier Smach reçoit régulièrement chez lui des souches d’anthrax envoyées par des gardiens du temple prêts au sacrifice pour préserver l’honneur du barbichu. Le poids qui pesait sur mes épaules était donc énorme : “et s’il m’arrivait de ne pas aimer le film ?” me disais-je. L’heure de la critique est arrivée et sans langue de bois !
La sortie en salle de Detective Dee est un événement cinématographique de taille. Rares sont en effet les blockbusters asiatiques à nous parvenir, plus rares encore sont ceux qui sortent au cinéma. Depuis le succès mitigé des Trois Royaumes de John Woo, même en version courte, les distributeurs se montrent bien frileux, et les films à grand spectacle atterrissent presque exclusivement dans nos salons, au mieux en DVD, au pire en Divx.
Alors que l’on a déjà pu goûter au Hong Sangsoo 2011, Oki’s Movie, un bon cru, et que l’excellent Ha Ha Ha sort en salle le 16 mars, on célèbre le cinéaste à Deauville et à la Cinémathèque Française. Double occasion de se repasser l’intégrale du cinéaste et de revenir sur quelques uns de ses films. Par East Asia.
Vendu comme le premier slasher made in Hong Kong, Dream Home aura fait couler de l’encre (mais de l’encre d’imprimante, XXIe siècle oblige) depuis l’annonce de sa mise en chantier. D’une part en raison de sa nature de film d’horreur, un genre, il faut l’avouer, depuis trop longtemps assez peu porteur de pépites à Hong Kong. D’autre part en raison de l’homme aux commandes : Pang Ho Cheung, devenu en quelques années la nouvelle coqueluche type du réalisateur indépendant s’essayant à des projets jugés plus subtils que la moyenne. Par Anel Dragic.