Aujourd’hui, petit cours d’Histoire Made in Corée avec Le Sang du guerrier de Kim Yong-Kyun. Sur la jolie pochette du DVD (les étincelles qui sortent du sabre !impressionnant !), on peut lire que le film a remporté le grand prix Action Asia au festival de Deauville 2010 et a connu un grand succès au Box-Office Coréen. Il n’en faut pas plus pour piquer notre curiosité, en route pour la Corée ! Par Jérémy Coifman.
Grand nom du Studio Madhouse et réalisateur de Gunslinger Girl ou Final Fantasy VII, Morio Asaka adapte La Déchéance d’un homme, d’après le Best-Seller de Osamu Dazai (1909-1948). Par Dorian Sa.
Parce qu’il n’y a pas que le cinéma dans la vie, et parce que le média se voit de plus en plus lié à celui des jeux-vidéos, retrouvez, chaque week-end, notre rubrique consacrée à l’actualité vidéoludique japonaise, dans son pays comme dans le reste du monde. Et c’est cette semaine le Japon qui fut le centre de la scène, dans des évènements aux répercutions nombreuses et parfois surprenantes… Par Tony F.
A l’heure où j’écris ces lignes, le Japon vit la fin du monde, Victor Lopez et Olivier Smach dansent la soca dance à Deauville, et votre humble serviteur continue d’explorer les sorties Metropolitan, pour le meilleur, mais aussi pour le pire. Malheureusement, aujourd’hui est un jour pire comme nous le prouve ce The Postman Fights Back, aka Le Messager de guerre de Ronny Yu. Par Anel Dragic.
Sur le papier, Flag s’annonce comme un croisement entre Redacted de Brian De Palma et de Valse avec Bashir d’ Ari Folman. En réalité, la version cinématographique de l’anime de Takahashi Ryôsuke et Terada Kazuo, malgré ses qualités esthétiques et narratives qui rendent sa vision extrêmement intéressante, est cependant loin de ces réussites. Par Victor Lopez.
Quelques mois à peine après le réjouissant Les femmes de mes amis, Hong Sangsoo revient avec Ha Ha Ha, son nouveau conte de cinéma, d’une drôlerie et d’une maturité remarquable. Fascinant jeux de miroirs sur les apparences, le film interroge, avec bonheur et grâce, les rapports humains et touche par son ampleur, sa justesse et sa complexité… par Victor Lopez.