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Considéré comme le "père du nouveau cinéma coréen", Park Kwang-su a réalisé sept longs métrages de 1988 à 2007, dont l'emblématique Chilsu et Mansu en 1988. Comme la plupart des réalisateurs de sa génération, son œuvre est aujourd'hui largement méconnue. Elle est pourtant fondamentale pour comprendre l'intense période de mutation et de développement du cinéma sud-coréen dans les années 90.
A l'occasion de la sortie en coffret DVD de Walk Up et De nos jours de Hong Sang-soo, on vous offre 2 DVD au choix, dans une sélection de films, en partenariat avec Capricci !
Disponible depuis le 5 avril sur Netflix, Parasyte: The Grey propose une adaptation, ou plutôt relecture du manga japonais éponyme, en la transposant en Corée du Sud, avec aux commandes le metteur en scène Yeon Sang-ho, réalisateur entre autres de Dernier train pour Busan. Sur le papier, c'est une belle promesse de divertissement qui nous est faite. A l'arrivée, le résultat est au mieux décevant, au pire catastrophique.
Polar noir aussi glauque qu’ultraviolent, Hopeless, le premier long-métrage de Kim Chang-hoon démarre sa carrière sur les chapeaux de roues avec un objet protéiforme radical, jouant avec des codes déjà bien connus de manière assez habile et avec une certaine malice. Le petit choc coréen d’Un Certain Regard 2023 sort enfin dans nos salles obscures !
Après deux décennies à flirter avec les influences du cinéma hongkongais, Choi Dong-hoon, avec Alienoid, assume finalement une œuvre somme, un hommage total au cinéma de sa jeunesse, entre l'esthétique wuxia du cinéma de l’Extrême Orient et celle de la science-fiction des années 80 du cinéma de l’Extrême Occident. Le cinéaste opère une fusion des genres qui en révèle leur indissociabilité et leur étrange singularité.
La trilogie de la vengeance de Park Chan-wook, immense morceau de cinéma coréen, revient dans nos salles en version restaurée. Lady Vengeance en est le dernier opus, à l'origine sorti en 2005.