Oasis est le troisième long métrage de Lee Chang-dong, réalisateur coréen au style particulier qui allie réalisme documentaire et visions fantastiques. Au milieu des multiples films de genre sur lequel le cinéma coréen continue de se bâtir une solide réputation de par le monde viennent parfois percer des œuvres plus confidentielles, déroutantes mais sublimes. Oasis, sorti chez nous il y près de dix ans maintenant, en fait partie, et constitue sûrement l’œuvre la plus forte et la plus aboutie de Lee Chang-dong. Par Clément Pascaud
He's back (again!). Après une première salve il y a quelques mois, voilà que le prochain film de Kim Jee-Woon, The Last Stand refait parler de lui avec un trailer définitif qui fait salement envie ! Par Jérémy Coifman.
Cette année, le Festival du Film Coréen à Paris consacre sa section « classiques » à des films scandaleux teintés de sexe. C’est l’occasion de (re)découvrir An Empty Dream de Yoo Hyeon-mok, un véritable ovni dans le cinéma coréen des années 60 mêlant onirisme chirurgico-dentaire, sadomasochisme et expressionnisme allemand. Par Marc L'Helgoualc'h.
La troisième édition du festival du cinéma en ligne Asian Connection nous proposait comme deuxième film coréen de la sélection, Barbie, de Lee Sang-woo, réalisateur méconnu de films à petits budgets. Rien d'innocent ou de doucereux dans ce Barbie, mais un film des plus noirs, basé sur un fait divers réel des années 1990, dont la réussite doit beaucoup à la mise en scène efficace et au talent de ses jeunes acteurs. Par Aiko Serialwriter & Shaya.
Comme chaque année, la Team East Asia vous donne son avis à chaud sur la sélection 2012 du FFCP, qui se tient au St-André-des-Arts du 30 octobre au 6 novembre. Julien Thialon, Marc L’Helgoualc’h et Clément Pascaud vous présentent leurs punchlines et leur avis chiffrés !
La troisième édition du festival du cinéma asiatique en ligne, Asia connection, s’ouvrait avec la diffusion du film coréen Romance Joe de Lee Kwang-kuk. Le film a été sélectionné dans de nombreux festivals internationaux, y compris dans l’une des sections du 16ème Festival international du film de Busan où il a d’ailleurs gagné un prix. Le réalisateur nous offre ici un premier long métrage singulier de grande facture, emmenant son spectateur dans un labyrinthe scénaristique intemporel, entre fiction et réalité. Par Julien Thialon.