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Tsui Hark, John Woo, Nakata Hideo ou encore Shimizu Takashi, tous ces génies asiatiques ont foulé le sol américain pour y tenter leur chance mais sans grande réussite... Mais lorsque l'un des trois surdoués coréens, Kim Jee-woon, (délaissant Joon-ho Bong et Park Chan-wook sur leur adaptation de Transperceneige), s'attaque à Hollywood, il faut suivre ça de très très près ! Par Kit Silencer.
Mardi 18 octobre, fin du 6ème festival Franco-Coréen du film. Après sept jours de visionnage intensif, sept jours de gribouillages de notes pendant et après les films, de café (noir), de discussions engagées devant le cinéma avec des programmateurs passionnés, il est temps de dresser un bilan. Par Jérémy Coifman.
Quand dans la programmation du Festival Franco-Coréen du film, on avait aperçu Invasion Of Alien Bikini, l’impatience de voir un bel ovni de série Z était très grande. Réalisé avec pratiquement rien, le film tient-il toutes ses promesses ? Par Jérémy Coifman.
Invité d’honneur lors de la 5ème édition du FFCF en 2010, Ryoo Seung-wan est un jeune réalisateur, dont le film Die Bad fut considéré en Corée comme le premier long métrage le plus remarquable de l’histoire du cinéma coréen (rien que ça !). En 2000, il montrait avec ce film, son point de vue brutal sur le monde du début du 21ème siècle dans lequel coexistait la joie du nouveau millénaire et l’anxiété de la crise économique. Par la suite, quelques films comme No Blood No Tears ou encore The City of Violence ont suffi pour lui coller une étiquette de réalisateur de films d’action. Mais le cinéaste nous a également prouvé qu’il avait plusieurs cordes à son arc, notamment en matière de comédies loufoques, puisqu’avec son Crazy Lee en 2008, il nous gratifie d’un Austin Powers à la sauce coréenne, en bien plus barré. Avec un background comme celui-ci, il va sans dire que son dernier film, The Unjust était plus qu’attendu par votre humble serviteur… Par Olivier Smach.
Un premier film de (bien) plus de trois heures réalisé par un important critique coréen ? Esbroufe ou ambition esthétique démesurée ? Certainement un peu des deux : un film d'un interminable prétention, que quelques trop rares moments de grâce n'arrivent pas à rattraper. Par Victor Lopez.
Le premier long métrage de Yoon Sung-hyung faisait parti des films les plus attendus du Festival, en raison d'une réputation flatteuse et d'une mise en avant exceptionnelle ! Et bonne nouvelle, la révélation Bleak Night n'a pas déçu ! Par Victor Lopez.