Cette année, le Black Movie, qui se déroule habituellement à Genève, prendra place dans votre salon. Dans la catégorie Nocturama, les spectateurs pourront découvrir un film kazakhstanais réalisé par Yerlan Nurmukhambetov et Takeba Lisa, Les Voleurs de chevaux. Une échappée dans les plaines kazakhes.
Cette année, le Black Movie, qui se déroule habituellement à Genève, prendra place dans votre salon. Dans la catégorie A suivre…, les spectateurs pourront découvrir le nouveau film du réalisateur kazakhstanais Adilkhan Yerzhanov, après A Dark, Dark Man. Avec Ulbolsyn, le cinéaste poursuit son observation des travers de la société de son pays, en creusant encore davantage la veine acide et caustique de son cinéma.
"Je reconnais tout, sauf moi même" : une introspection comme une réflexion sur les images des cinémas d'Asie. Par Kephren Montoute, Justin Kwedi, Jeremy Coifman, Lila Gleize, Maxime Bauer & Apichatpong Weerasethakul - réalisé par Kephren Montoute.
Cette année, le Black Movie, qui se déroule habituellement à Genève, prendra place dans votre salon. Dans la catégorie Liberté, j'écris ton nom, le festival vous propose de saisir l'occasion de visionner un film azerbaïdjanais avec The Island Within. Deuxième long-métrage d'un monteur devenu réalisateur, Ru Hasanov, cette balade sauvage, de la bureaucratie nationale aux territoires ruraux, déploie les particularités de ce pays du Caucase et navigue, dans son style, en terrain connu.
Si les traditionnels top 10 de 2020 des rédacteurs laissent cette année plus que coutume place à des top 5, il y a rarement eu autant de films cités. La rareté des sorties en salles et de grands événements fédérateurs comme les festivals ont favorisé un éclatement des visionnages, et une individualisation plus grande des goûts. Mais cela n'empêche pas un consensus extrêmement clair sur la révélation de l'année : Gu Xiaogang et son Séjour dans les monts Fuchun, qui caracole largement en tête d'un peloton ensuite à la fois très compact et varié. Les valeurs sûres se détachent un peu (Sono Sion, Tsai Ming-liang, Hong Sang-soo) et cachent ensuite une myriades de petites pépites, que l'on vous laisse découvrir dans nos classements, en espérant qu'il vous donne des envies de rattrapage, en attendant une année cinématographique 2021, qui ne semble pas prête à commencer.
La Biographie d’un jeune accordéoniste est l’œuvre la plus récente de la sélection du Festival du Film Kazakhstanais en France : sorti en 1994, après la fin du bloc soviétique, cet Amarcord kazakh porte un regard nostalgique sur l’enfance rurale après la Seconde Guerre mondiale, tout en critiquant le stalinisme.