Alors que l'animation japonaise s'est définitivement imposée, notamment en France, comme un incontournable de la scène cinématographique internationale et que le marché du manga ne s'est jamais aussi bien porté, il existe encore un public très peu au fait de ce qu'a à offrir ce genre de productions. Aussi, afin d'initier ces cinéphiles curieux, Nathalie Bittinger propose une plongée dans l'animation japonaise, sur petit et grand écran, dans un livre dense, exhaustif mais non dénué de menus défauts, édité chez Hoëbeke.
Call Me Chihiro nous plonge dans les chroniques de la solitude d’une jeune femme. Entre les déboires des gens qui rythment son quotidien et ses errances sentimentales, Imaizumi Rikaya dresse le portrait d’une singularité par une banale joliesse.
Alors que Kurosawa Kiyoshi était l’invité d’honneur du festival Toute la mémoire du monde à La Cinémathèque française, retournons sur Eyes of the Spider, dans lequel il signe un exercice de style criminel qui entre brillamment en résonance avec ses thèmes récurrents. Partager Suivre
Alors que Kurosawa Kiyoshi était l'invité d'honneur du festival Toute la mémoire du monde à La Cinémathèque française, on revient sur son film atypique Licence to Live, qui rétrospectivement anticipe son virage récent et brillant vers le mélodrame.
Il y a quelque temps, nous avions découvert, cachée dans les tréfonds de Disney +, la délirante et hilarante série Tatami Time Machine Blues dont nous avions dit le plus grand bien. Et le moins que l'on puisse dire, après avoir regardé Time Shadows, c'est que la plate-forme de Mickey renferme d'incroyables pépites qui méritent largement le détour.
Badlands met en lumière la filmographie méconnue du cinéaste japonais Kawashima Yuzo, et plus particulièrement les trois films de sa collaboration avec la star Wakao Ayako. On évoque La Bête élégante, exercice virtuose de huis-clos anticipant Parasite et Une Affaire de famille.