Les chiens errants, le nouveau film du réalisateur taïwanais Tsai Ming-Liang, vient de sortir sur nos écrans. Au même moment, du 10 au 30 mars, se tient à la Cinémathèque Française une rétrospective de l’ensemble de son œuvre. Ces deux évènements nous donne la parfaite occasion pour faire le point sur ce grand cinéaste. Notamment sur toutes ses obsessions, thématiques et visuelles, qui jonchent chacun de ses films, et que l’on retrouve évidemment dans sa dernière merveille.
Disponible et réfléchi, Nakata Hideo a pris la peine de nous parler de son dernier film, Monsterz, qui sort au japon le 30 mai prochain, et que le Festival du film asiatique de Deauville proposait en avant-première mondiale lors de l’édition 2014. Pesant chacun de ses mots, le réalisateur de Ring et Dark Water est longuement revenu sur son travail au sein des studios, sur la situation du cinéma japonais et du tsunami de 2011. Interview.
Si le film terrasse sur l'instant, il se pourrait bien que Les Chiens errants de Tsai Ming-Liang reste comme un des films les plus marquants et réussis de l'année.
L'envie d'East Asia d'inscrire le cinéma asiatique dans un paysage mondial l'a conduit à, ponctuellement, parler de films non-asiatiques. Ce fut le cas de Les secrets ou encore de Man Of Steel. A présent, nous avons décidé de porter notre regard sur une co-production franco-belge : L'étrange couleur des larmes de ton corps.
Projeté en avant-première mondiale au Festival du film asiatique de Deauville, Monsterz de Hideo Nakata a réussi à faire l’unanimité… contre lui. Connu avant tout pour ses films d’épouvante, le réalisateur nippon revient aujourd’hui avec un thriller assez inepte, remake du film sud-coréen Haunters de Lim Min-suk, sorti en 2010.
Cette année, le Festival du film asiatique de Deauville a rendu hommage à Malani Fonseka, la « Reine du cinéma sri-lankais », actrice dans plus de 150 films depuis 1968. Elle a été récompensée à plusieurs reprises dans son pays et à l’étranger. En 1996, elle a notamment reçu le prix Wishwa Prasadini pour sa participation à l’essor de l’industrie cinématographique du Sri-Lanka. Trois films représentatifs des différentes périodes de sa carrière ont été présentés à Deauville.