Le Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) se déroulera au Publicis Cinema du 25 octobre au 1er novembre. Une partie de la programmation vient d'être dévoilée, celle qui concerne les longs-métrages !
L'année France-Corée, Séoul Hypnotique, le 10ème Festival du Cinéma Coréen à Paris... aurtant d'occasion de faire un point sur le cinéma corée d'aujourd'hui ! Un podcast spécial corée en companie d'Amandine Vatinet, d'Elvire Rémand, de Justin Kwedi, de Nicolas Lemerle, d'Elias Campos, de Yannik Vanesse et de Victor Lopez : bonne écoute !
Choi Dong-hoon fait partie de cette génération de réalisateurs coréens qui a commencé à éclore au début des années 2000. Avec quatre films à son actif, dont Les braqueurs, Choi Dong-hoon est venu présenter son cinquième film au Festival du Film Coréen de Paris : Assassination. Plus de 2h d'action, sans aucun temps mort, qui a réuni quasiment 13 millions de spectateurs en Corée !
Dernière interview réalisée au FFCP 2015, et pas des moindres, puisque nous avons eu l’honneur et le privilège de rencontrer Choi Dong-hoon, réalisateur du très réussi Assassination. Découvert lors de la 7ème édition avec son film The Thieves projeté en clôture du festival, nous étions sortis de cette séance enthousiastes devant la qualité du spectacle. […]
Après 3 court-métrages dont Election, particulièrement remarqué en 2009, Hong Seok-jae, jeune réalisateur de 32 ans, nous offre un premier long métrage sombre et contemporain: Socialphobia, un brûlot sur le cycle infernal des réseaux sociaux qui rythme la vie de la société coréenne, présenté cette année au Festival du Film Coréen de Paris en présence de son réalisateur.
A Midsummer’s Fantasia fut une des belles surprises du récent Festival du Film Coréen à Paris. Il s’agit de la troisième réalisation de Jang Kun-jae et constitue une commande du Festival International du Film de Nara au Japon. Il s’agit bien sûr de la région d’origine et du cadre filmique privilégié de l’emblématique réalisatrice japonaise Naomi Kawase qui a proposé le projet à Jang Kun-jae. Le sujet était libre mais avait pour contrainte d’être tourné à Nara, obligeant le cinéaste coréen à se détacher de l’imagerie irrémédiablement associée au cinéma de Naomi Kawase dans ce cadre. Jang Kun-jae place donc cette difficulté au cœur de son dispositif narratif par la construction déroutante du récit.