Grand nom du Studio Madhouse et réalisateur de Gunslinger Girl ou Final Fantasy VII, Morio Asaka adapte La Déchéance d’un homme, d’après le Best-Seller de Osamu Dazai (1909-1948). Par Dorian Sa.
A l’heure où j’écris ces lignes, le Japon vit la fin du monde, Victor Lopez et Olivier Smach dansent la soca dance à Deauville, et votre humble serviteur continue d’explorer les sorties Metropolitan, pour le meilleur, mais aussi pour le pire. Malheureusement, aujourd’hui est un jour pire comme nous le prouve ce The Postman Fights Back, aka Le Messager de guerre de Ronny Yu. Par Anel Dragic.
Sur le papier, Flag s’annonce comme un croisement entre Redacted de Brian De Palma et de Valse avec Bashir d’ Ari Folman. En réalité, la version cinématographique de l’anime de Takahashi Ryôsuke et Terada Kazuo, malgré ses qualités esthétiques et narratives qui rendent sa vision extrêmement intéressante, est cependant loin de ces réussites. Par Victor Lopez.
Quelques mois à peine après le réjouissant Les femmes de mes amis, Hong Sangsoo revient avec Ha Ha Ha, son nouveau conte de cinéma, d’une drôlerie et d’une maturité remarquable. Fascinant jeux de miroirs sur les apparences, le film interroge, avec bonheur et grâce, les rapports humains et touche par son ampleur, sa justesse et sa complexité… par Victor Lopez.
À l’occasion de la sortie en DVD de Oncle Boonmee (Celui qui se souvient de ses vies antérieures) d’ Apichatpong Weerasethakul, que dire ou redire de cette Palme d’Or atypique, vilipendée par certains, portée aux nues par d’autres, et qui sut finalement trouver son public (plus de 100 000 entrées dans les salles françaises) ? Par Antoine Benderitter.
“Le succès aux 7 millions de spectateurs”, clame la jaquette française de ce Woochi. Pas sûr que le sympathique blockbuster de Choi Dong-Hong fasse le même carton en France qu’en Corée, mais on ne peut que lui souhaiter de trouver son public dans nos contrées aussi. Un peu de sorcellerie taoïste pour toute la famille change effectivement des sempiternelles crises d’adolescence d’Harry Potter. Par Victor Lopez.