Gordon Chan, en décidant de faire un remake de La Fureur de vaincre (Fist Of Fury), s'attelait en 1994 à un projet difficile, Bruce Lee étant une icône face à laquelle il est difficile de se comparer. Metropolitan ressort aujourd'hui le film en Blu-ray, l'occasion de revenir sur l'un des grands moments de la filmographie de Jet Li. Par Yannik Vanesse.
La troisième édition du festival du cinéma asiatique en ligne, Asia connection, s’ouvrait avec la diffusion du film coréen Romance Joe de Lee Kwang-kuk. Le film a été sélectionné dans de nombreux festivals internationaux, y compris dans l’une des sections du 16ème Festival international du film de Busan où il a d’ailleurs gagné un prix. Le réalisateur nous offre ici un premier long métrage singulier de grande facture, emmenant son spectateur dans un labyrinthe scénaristique intemporel, entre fiction et réalité. Par Julien Thialon.
Le Syndicat du Crime (A Better Tomorrow) est le film qui a permis au public occidental de découvrir John Woo et, plus généralement, le polar hongkongais. Produit par Tsui Hark, cette œuvre fit l'effet d'une véritable bombe et, encore maintenant, il n'a pas pris une seule ride malgré ses 26 ans d'existence. L'annonce d'un remake a donc de quoi surprendre. TF1 Vidéo nous permet de découvrir ce que ce métrage apporte – ou pas – à l'original. Par Yannik Vanesse.
On l’attendait au tournant, The Raid de Gareth Evans comble toutes nos attentes, et peut-être même un peu plus. Par Jérémy Coifman.
A Frozen Flower arrive chez nous. Pour l'occasion, il devient King Protector, grâce à Elephant Film. Voici donc un film de sabre coréen. Offre-t-il de l'originalité qui mérite le détour, ou n'est-il qu'un film de sabre parmi d'autres ? Par Yannik Vanesse.
Marines Are Gone est un des nombreux films de guerre de Lee Man-hee, réalisateur coréen phare des années 1960 et 1970. Le film, qui suit un régiment sud-coréen opposé aux armées nord-coréennes et chinoises en 1950, peut être considéré comme le Full Metal Jacket coréen : on y trouve des scènes de combat brutes de décoffrage, une fête dans un bordel, des séances d'entraînement et surtout la vie quotidienne des soldats dans leur campement. Comme Stanley Kubrick, Lee Man-hee a voulu montrer à quoi ressemble vraiment la guerre, dans toute sa violence inhumaine. Par Marc L'Helgouac'h.