Réalisateur phare de Hong Kong, Tsui Hark voit trois de ses films projetés lors de l'hommage que rend Paris Cinéma à sa ville : deux chefs d'œuvre qui en font le cinéaste du chaos, L'Enfer des armes et The Blade, mais aussi le charmant et moins connu Shanghai Blues, sur lequel nous avons décidé de nous arréter. Par Justin Kwedi.
Disparu des écrans français depuis Vengeance sorti chez nous en mai 2009, Johnnie To revient enfin avec La Vie sans principe (zappant au passage Don't Go Breaking My Heart... on à l'habitude avec les romances du réalisateur), dans lequel il s'attaque à la crise. Par Anel Dragic.
Un chef d’œuvre absolu vient éclairer la "Nuit catégorie III", que le festival Paris Cinéma, qui pense à tous les types de cinéphiles, a le courage d'organiser au Forum des Images le vendredi 29, de 21h30 au petit matin dans le cadre de son hommage à Hong Kong. Au programme : The Untold story (1993) d’Herman Yau, Crazy love (1993) de Roman Cheung, Sex and zen II (1996) de Chin Man-kei, et surtout Ricky Oh, signé par le Kubrick du nawak made in HK : Nam Nai Choi. Par Jérémy Coifman.
Encore inédit en France, Les Enfants de Belle Ville du cinéaste Iranien Asghar Farhadi arrive sur nos écrans le 11 juillet. Bouleversant voyage. Par Jérémy Coifman.
Le jeudi 17 mai se tenait à Paris dans les locaux de l'Institut d’Études Supérieures des Arts (IESA) un concours de nouveaux talents taïwanais à travers 10 courts-métrages dont le vainqueur s'est avéré être Reflection de Chuang Ching-Shen. Une opportunité pour East Asia de découvrir et partager avec vous ce cinéma si méconnu en France hormis TSAI Ming-Liang, ANG Lee, le défunt Edward YANG (auteur du chef-d’œuvre Yi Yi) et HOU Hsiao Hsien. Autant dire dès le début, que nous n’avons pas été déçus, loin de là ! Par Julien Thialon
Après une critique assassine de notre envoyé spécial en Chine Maitre Shifu, on aurait pu faire passer The Great Magician de Derek Yee pour un film de Jingle Ma. Pourtant ma séance au FCCF s’est révélée être un agréable moment. The Great Magician de Derek Yee nous parle de spectacle, de magie, de cinéma, et d’amour. Mais est-il un bon divertissement pour autant ? Par Jérémy Coifman