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Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils se penchent ici sur la sélection 2019 du Tokyo International Film Festival, dominé par un film : i: Documentary of the Journalist de Mori Tatsuya. Par Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il se penchent dans cette chronique sur Beyond Imperial Aesthetics - Theories of Art and Politics in East AsiaBonsoir, un ouvrage intéressant paru aux presses universitaires de Hong Kong. Par Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang.
Deux expositions, deux époques distinctes: Le Musée d'Art Moderne de la Ville de Tokyo se penche sur l'oeuvre de Takahato Isao, et nous rappelle comment lui, et Miyazaki Hayao, ont pensé l'art et les métiers de l'animation, en tant que lieu d'une parole libre. L'édition 2019 de la Triennale d'art contemporain de Aichi s'est vu rappelée les limites de ce qui peut être dit à Nagoya, qui accueillera le Parc Ghibli en 2021. Par Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang.
Du 18 au 21 avril, Stephen Sarrazin sera à Okinawa afin de couvrir la 11ème édition de l'Okinawa International Movie Festival pour East Asia. Présentation du programme 2019.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ce mois-ci, il nous parle de His Lost Name de Hirose Nanako et du film omnibus 21st Century Girl. Par Stephen Sarrazin et Yangyu […]
Hollywood semble se tourner vers le Japon, espérant trouver dans la richesse de ses mangas et autres animes matières à exploiter de nouvelles franchises plus lucratives. Si en France nous avons pris un peu d'avance dans le domaine, avec pour précurseur Jacques Demy et son adaptation de Lady Oscar et plus récemment le Nicky Larson de Philippe Lacheau, aucun de ces films n'avaient suscité autant d'émois que l'annonce d'un Gunnm, intitulé Alita: Battle Angel, scénarisé par James Cameron et réalisé par Robert Rodriguez, tant cela semblait évident sur le papier. Les dieux du cinéma en ont, semble-t-il, décidé autrement. Que reste t-il de ce fantasme cinéphile ?