Dernier opus de la Trilogie Musashi réalisée par Inagaki Hiroshi, et ultime étape pour le désormais impassible Miyamoto Musashi. La Voie de la lumière (1956), suivant La Légende de Musashi (1954) et Duel à Ichijoji (1955), marque la fin d’un voyage, qu’il serait fort gré de découvrir en coffret DVD/Blu-Ray dans sa fantastique version restaurée […]
Pour ce deuxième volet de la Trilogie Musashi, Inagaki Hiroshi semble répondre à nos attentes et entrer dans le vif du sujet, après un opus introductif certes convaincant, mais plus confus qu'en confiance avec la biographie romancée par Yoshikawa Eiji au XXe siècle du samouraï de légende Miyamoto Musashi. Duel à Ichijoji (1955) succède à La Légende de Musashi (1954), et prépare le terrain pour le grand final du triptyque, La Voie de la lumière (1956). Tous trois sont simultanément sortis au cinéma cet été, distribués par Carlotta dans leur splendide version restaurée, et sont dès à présent disponibles en coffret DVD/Blu-Ray.
Près de 70 ans après sa sortie au Japon, la légendaire trilogie du samouraï Miyamoto Musashi, avec Mifune Toshiro en premier rôle et adaptée du roman éponyme de Yoshikawa Eiji, nous parvient en coffret DVD/Blu-Ray, chez Carlotta, pour la première fois dans sa version restaurée, après une sortie au cinéma. Un triptyque composé de La Légende de Musashi (1954), Duel à Ichijoji (1955) et La Voie de la lumière (1956), tous trois réalisés par un maître du chanbara et du jidai-geki chez la Toho, Inagaki Hiroshi.
Zhao Liang, dans l'ombre de Wang Bing, est aujourd'hui l'une des figures de proue du nouveau cinéma documentaire chinois. Reconnu dans les festivals du monde entier pour le regard acerbe qu'il porte sur la Chine contemporaine, ses dérives par extension, Zhao dédie I'm So Sorry, sa dernière réalisation en date, aux dangers et victimes collatérales de l'énergie nucléaire. Un incontournable de la sélection 2021 du Festival Allers-Retours.
Pas moins de quatre films de Cheng Yu-chieh, élu cinéaste de l’année par l’équipe de Filmosa, ont été sélectionnés lors de cette édition : Summer, Dream (2001), Yang Yang (2009), Unwritten Rules (2011), et le dernier en date, Dear Tenant (2017). Un mélodrame plus tragique et tourmenté que de coutume dans le paysage du cinéma romantique […]
Réalisateur pékinois dont le nom n'évoque d'ores et déjà plus n'importe qui, après deux premiers longs-métrages en sélections cannoises 2020 et 2021, Wei Shujun s'impose comme l'un des grands newcomers de son époque avec Striding Into the Wind, projeté au Festival Allers-Retours 2021.