Presque inconnu dans nos contrés, Jang Jin, cinéaste coréen et auteur dramaturge populaire dont un seul film [Guns and talks (2001)] a eu droit à une sortie vidéo France, est à l'honneur au 8ème Festival International du Film Policier de Beaune, où son polar Man On High Heels, qui sera distribué en salle l'été 2016 par Zootrope Films, est selectioné en compétition officielle.
Toujours là où on ne l'attend pas, Sion Sono, le punk hyper-actif du cinéma nippon nous est revenu avec pas moins de cinq longs métrages pour la seule année cinématographique 2015. Financé par deux grosses majors et inspiré d'un roman à succès, Tag a de quoi faire frémir, même les fans les plus enthousiastes du cinéaste! Nous ne pouvons qu'espérer qu'il parvienne à insuffler un sentiment de rébellion qui libèrerait ces jeunes adolescentes de leur moule industriel de lolita soumise ! Les spectateurs de la 34ème édition du Brussels International Fantastic Films Festival pourront en juger.
8 années se sont écoulées depuis la sortie de son précédent film : Le Voyage du ballon rouge. Hou Hsiao-Hsien nous revient dans un genre dans lequel on ne l'imaginait pas, le wu xia. Et pourtant, le cinéaste taïwanais est parvenu à renouveler le récit de chevalerie chinois en revenant à ses sources littéraires. Un film qui porte bien son empreinte ciné génique, avec sa mise en scène soignée, ses plans séquences et son esthétique resplendissante. Et au cœur de ce film flamboyant, la sublime Shu Qi, qui signe ici sa troisième collaboration avec le maître. Entretien avec l'immense cinéaste, auquel la Cinémathèque française consacre également une rétrospective intégrale du 2 au 30 mars, en parallèle à la sortie française de The Assassin, en salles le 9 mars.
Diffusé le dernier jour de la compétition lors du Festival de Cannes 2015, The Assassin n'a pas eu l'effet escompté sur la Croisette. Reparti avec le Prix de la Mise en Scène, le nouveau Hou Hsiao-Hsien s'est fait longtemps désirer sur les écrans. Il y arrive enfin le 9 mars. Et, cerise sur le gateau : en plus de la sortie de son dernier bijou, le cinéaste taïwanais a le droit au mois de mars à une rétrospective complète de son œuvre à la Cinémathèque Française.
Diffusé le dernier jour de la compétition lors du Festival de Cannes 2015, The Assassin n'a pas eu l'effet escompté sur la Croisette. Reparti avec le Prix de la Mise en Scène, le nouveau Hou Hsiao-Hsien s'est fait longtemps désirer sur les écrans. En plus de la sortie de son dernier bijou, le cinéaste taïwanais aura le droit au mois de mars à une rétrospective complète de son œuvre à la Cinémathèque Française, qui propose une avant-première du film le 17 février.
Pour fêter cette nouvelle année du singe, et marquer un événement dans la distribution cinématographique, la société China Lion a entrepris de sortir cette année, simultanément en Chine et dans le reste du monde, sa nouvelle superproduction The Monkey King 2. Un film qui, à l'image de son mythique héros, s'en va vers l'Ouest à la conquête de nouveaux territoires.