Grâce à Spectrum Films, la rentrée cinématographique fut marqué par la sortie en DVD d'un des plus grands films taïwanais dans une magnifique copie : le chef-d'oeuvre d’Edward Yang ! Non, pas Yi Yi, mais The Terrorizers, film puzzle de 1986. À cette occasion East Asia revient sur les sept films du réalisateur avec une ballade analytique dans filmographie trop courte, mais d'une remarquable densité et d'une richesse infinie.
C'est à Kinotayo 2011 que nous avons pour la première fois rencontré Sono Sion, alors qu'il venait y présenter Cold Fish et Guilty of Romance, et qu'il était entre les tournages de Himizu et Land of Hope. Alors que sa dernière oeuvre, Tokyo Tribe, semble de nouveau déchaîner les passions lors de ses présentations dans le cadre de L'Étrange festival 2014 il nous a semblé opportun de vous livrer les propos de l'insaisissable cinéaste, en replongeant dans cette interview rocambolesque. Vidéo !
À l'occasion de la sortie sur les écrans français du film vietnamien Bi, n'aie pas peur !, East Asia a rencontré son réalisateur Phan Dang Di et son acteur Nguyen Ha Phong pour leur poser quelques questions sur leur collaboration.
Alors que Life Without Principle, son excellent et dernier film, est projetté au Black Movie de Genève, East Asia vous propose une interview vidéo de son réalisateur, Johnnie To. Le maître était en effet de visite en France en Juillet 2010 dans le cadre du gargantuesque hommage à Hong Kong organisé par Paris Cinéma. L'occasion était trop belle de le titiller sur ses débuts au cinéma, sur son rapport aux triades et sur sa ville. Interview d'Anel Dragic, vidéo de Flavien Bellevue.
Disparu des écrans français depuis Vengeance sorti chez nous en mai 2009, Johnnie To revient enfin avec La Vie sans principe (zappant au passage Don't Go Breaking My Heart... on a l'habitude avec les romances du réalisateur), dans lequel il s'attaque à la crise. Par Anel Dragic.
Bien installé dans le registre depuis quelques films, Daniel Lee revient au wu xia pian avec White Vengeance (Le dernier royaume chez nous), fresque guerrière calibrée par un réalisateur qui n’essaie désormais même plus de s’élever au dessus de son statut de yes-man. Par Anel Dragic