Ceux qui suivent East Asia le savent, le site a beaucoup soutenu un projet de long-métrage alléchant : A Story of Life and Death and Love, de Eric Dinkian. Il est à présent temps de donner quelques nouvelles de ce film. Par Yannik Vanesse.
Et hélas, elles ne sont pas bonnes. Après s’être réjoui de l’aboutissement du financement Ulule, après avoir découvert les courts-métrages du réalisateur dépeignant un univers unique à l’onirisme poussé, après avoir interviewé les membres importants de l’équipe, et après avoir attendu en trépignant des retours du tournage parisien de cette histoire de vampire originale à l’ambiance résolument asiatique, voilà que nous parvient la conclusion, bien triste, de cette aventure passionnante.
En effet, des problèmes sur le tournage ont forcé l’équipe à devoir abandonner ce rêve. Ils nous promettent déjà un court-métrage avec ce qui a pu être tourné, et parlent déjà d’un nouveau projet de long-métrage, mais A Story of Life and Death and Love ne se fera pas. East Asia, tout en s’attristant de cette nouvelle, souhaite un meilleur succès aux projets futurs de l’équipe.
L’Équipe d’Along Production le dit : « désolés d’avoir à l’annoncer ainsi alors que tout, vraiment tout excepté cette incroyable situation que nous n’aurions su prédire, nous donnait le vent en poupe pour réussir le film avec aisance et professionnalisme. Malgré cela, nous n’avons perdu ni l’espoir ni la volonté de se battre et de réussir. Nous sommes notamment en train de préparer un format court des images déjà tournées sur ces 4 jours. De plus, Eric et nous repartons sur une nouvelle aventure de long, différent du dernier, et qui va pouvoir prendre le temps de chercher des financements afin de nous donner encore plus de force et revenir sur le devant de la scène l’été prochain. Et ce dans une nouvelle aventure de tournage que nous ne nous ferons pas voler !«
East Asia, tout en partageant la déception de l’équipe, se réjouit de leur enthousiasme et leur souhaite de concrétiser leurs projets futurs. Nous ne manquerons pas, bien sûr, d’en parler le moment venu.
Yannik Vanesse.
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