rester connecté
Mot de passe oublié ?
Si les traditionnels top 10 de 2020 des rédacteurs laissent cette année plus que coutume place à des top 5, il y a rarement eu autant de films cités. La rareté des sorties en salles et de grands événements fédérateurs comme les festivals ont favorisé un éclatement des visionnages, et une individualisation plus grande des goûts. Mais cela n'empêche pas un consensus extrêmement clair sur la révélation de l'année : Gu Xiaogang et son Séjour dans les monts Fuchun, qui caracole largement en tête d'un peloton ensuite à la fois très compact et varié. Les valeurs sûres se détachent un peu (Sono Sion, Tsai Ming-liang, Hong Sang-soo) et cachent ensuite une myriades de petites pépites, que l'on vous laisse découvrir dans nos classements, en espérant qu'il vous donne des envies de rattrapage, en attendant une année cinématographique 2021, qui ne semble pas prête à commencer.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang commentent de nouvelles parutions venues de la BFI, des textes et des revus sur le cinéma japonais classique et contemporain.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils voyagent aujourd’hui en Corée pour évoquer la série Kingdom de Kim Eun-hee. Follow
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils évoquent ici Fukushima 50 (2020) de Wakamatsu Setsuro.
Depuis le carton planétaire du Parasite de Bong Joon-ho, aussi bien critique, public, qu'en termes de récompenses, le monde entier a les yeux braqués sur le cinéma coréen. Il faut dire que depuis le début du 2e millénaire, le pays du matin calme a proposé à travers sa nouvelle vague, un courant dont Bong en est un éminent représentant, un cinéma particulièrement aiguisé et séduisant, avec une certaine constance. Pourtant, une autre culture asiatique mériterait encore plus d'attention et montre un dynamisme flamboyant depuis quelques années, et une accélération de sa puissance depuis deux ans. Il s'agit de la Chine, qui a raflé beaucoup de place dans le Top 2019 de notre rédaction.
Stephen Sarrazin et Yangyu Zhang présentent dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ils évoquent ici Complicity (2018) de Chikaura Kei.