3 commentaires pour “Stanley Kwan, l’altérité en soi”

1. Gwenaël Germain, le 8 octobre, 2019 à 14 h 52 min :

   Merci beaucoup de mettre en avant un réalisateur fabuleux qui est hélas bien souvent oublié. Je n’ai pas pu voir beaucoup de films de Stanley Kwan (seulement Rouge et le chef d’œuvre Center Stage) mais son cinéma m’a immédiatement touché. Par contre, je n’arrive pas à trouver ses œuvres récentes et votre présentation porte essentiellement sur ses films anciens.

   Avez-vous pu voir ses œuvres post-2010 ?

2. Kephren, le 8 octobre, 2019 à 15 h 57 min :

   De rien. Merci à vous de nous suivre.
   Concernant les films post-2010, ils ne sont pas accessibles en Occident à ma connaissance. Et très très difficilement trouvables en Chine et à HK. J’ose espérer qu’un jour nous pourrons voir son dernier long-métrage First Night Nerves qui semble magnifique.

3. Gwenaël Germain, le 10 octobre, 2019 à 15 h 44 min :

   Il n’y a plus qu’à espérer qu’une nouvelle rétrospective puisse se faire ou qu’une plateforme de VOD se lance dans le projet quoi. Je me demande si paradoxalement ses films ne sont pas plus disponibles à Taiwan, mais je suppose que si c’était le cas, les films n’auraient pas de sous-titres anglais…