Pour cette 1ère édition du Festival du Film Taïwanais à Paris, les organisateurs ont invité Tom Lin Shu-yu, venu présenter deux films, son premier long métrage et son travail le plus récent, Yen and Ai-Lee, drame dans un somptueux noir et blanc, développé avec son épouse Kimi Hsia, qui en tient le rôle principal. Le film présente l'histoire compliquée d'une relation mère fille, avec le retour à Kaohsiung de Yen, qui revient chez sa mère après avoir purgé sa peine pour l'assassinat de son père violent.
A l'occasion de la rétrospective dédiée au cinéaste Tsai Ming-liang au Centre Pompidou, La Rivière sorti initialement en 1997, fait son retour dans nos salles obscures.
A l'occasion de la rétrospective dédiée au cinéaste Tsai Ming-liang au Centre Pompidou, Vive l'amour, sorti initialement en 1995, fait son retour dans nos salles obscures.
Une rétrospective de quelques films de Tsai Ming-liang a lieu, en ce moment, dans toutes les bonnes salles de cinéma. On se penche sur Vive l'amour !
Taipei, fourmilière urbaine où voitures et essaims bipèdes sont le ciment d’un quotidien morose, et au milieu coule le Tamsui. La Rivière (1997), dernier film du coffret de Survivance consacré aux trois premiers longs-métrages de Tsai Ming-liang. Il accompagne Les Rebelles du dieu néon (1992) et Vive l’amour (1994).
Dès son deuxième long-métrage, Vive l’amour (1994), Tsai Ming-liang commence à s’engouffrer dans la radicalité qui fera sa renommée, bien plus que sa précédente expérimentation. Second film du coffret de Survivance consacré aux débuts du réalisateur taïwanais. Il accompagne Les Rebelles du dieu néon (1992) et La Rivière (1997).