Il existe des films qui relèvent tant du fantasme de cinéphile qu'il faudrait un alignement des astres pour que ce rêve devienne réalité. On ne sait quelle divinité fut louée, toujours est-il qu'un de ces rares événements a bien eu lieu. Le Roi de la comédie cantonnaise s'est offert les services du Dieu du cinéma chinois pour mettre en scène l'un des fleurons de la littérature populaire chinoise. Ainsi naquit Journey to the West: The Demons Strike Back que l'on a pu découvrir lors de la 7e édition du Festival du Cinéma Chinois en France (FCCF) !
Le Neuchâtel Internation Fantastic Film Festival (NIFFF) sera de retour du 30 juin au 8 juillet. Le meilleur festival suisse donne toujours une grande place au cinéma asiatique. Pourquoi changer une équipe qui gagne ? Zoom sur la nouvelle sélection !
On ne compte plus les projets de Yuen Woo-ping qui restent bloqués dans un tiroir. Espérons qu'il en soit autrement pour The Thousand Faces of Dunjia, remake d'un de ses films !
Présent lors de la 9ème édition de l’Okinawa International Movie Festival pour présider le jury de la Creator’s Factory (lire ici), Fruit Chan a rencontré la presse pour nous parler de sa filmographie, de ses débuts dans le cinéma indépendant avec Made in Hong Kong à ses projets plus commerciaux comme l’imminent The Invincible Dragon. En introduction, nous avons demandé à Jean-Pierre Dionnet de nous présenter le cinéaste, dont il a produit le beau Durian Durian en 2000. Interviews !
Du 15 mai au 27 juin, la 7ième édition du Festival du Cinéma Chinois en France se promènera sur les écrans de l’Hexagone. Elle révèle aujourd’hui sa programmation.
Stephen Chow est un cinéaste à part dans nos contrées. Découvert en grandes pompes grâce à sa comédie footbalistique Shaolin Soccer (2001 - 660 000 entrées salles), succès qui en entraîna logiquement une poignée d’autres, plus modestes, avec les exploitations successives de Crazy Kung-fu et CJ7. On attendait donc avec enthousiasme cet effet de rebond qui aurait dû garnir les rayonnages de nos magasins culturels des nombreux inédits du bonhomme. A de rares exceptions près (un coffret HK et Bons baisers de Pékin), sa filmographie demeure malheureusement quasi inconnue chez nous. La faute incombant en partie à ces vauriens de Weinstein qui, non contents de charcuter les films qu’ils exploitent, s’étaient octroyés au passage les droits à l’international de classique tels que King of Comedy et God Of Cookery dans le but d’en réaliser des remakes US.