Du 3 mars au 29 avril, les Matinées cultes du Majestic Bastille vous proposent de revenir sur les films japonais les plus emblématiques produits après les années 1950. 9 films seront à découvrir ou redécouvrir en présence de Pascal Alex Vincent, réalisateur et enseignant à Paris 3, Frédéric Monvoisin, docteur en cinéma à Paris 3 et enseignant à L'Inalco et Marie Pruvost Delaspre, maître de conférence à Paris 8.
En réalisant Le grondement de la montagne, Naruse atteint au milieu des années 50 sa maturité stylistique. Servi par deux grands acteurs de renom, le film est un chef-d’œuvre de finesse et de subtilité cinématographique.
Inédit en France, Quand une femme monte l’escalier constitue une étape importante dans la filmographie de Naruse Mikio. Outre la qualité de sa mise en scène, le film est porté par l’incroyable talent de Takamine Hideko, alors au sommet de sa carrière.
8 années se sont écoulées depuis la sortie de son précédent film : Le Voyage du ballon rouge. Hou Hsiao-Hsien nous revient dans un genre dans lequel on ne l'imaginait pas, le wu xia. Et pourtant, le cinéaste taïwanais est parvenu à renouveler le récit de chevalerie chinois en revenant à ses sources littéraires. Un film qui porte bien son empreinte ciné génique, avec sa mise en scène soignée, ses plans séquences et son esthétique resplendissante. Et au cœur de ce film flamboyant, la sublime Shu Qi, qui signe ici sa troisième collaboration avec le maître. Entretien avec l'immense cinéaste, auquel la Cinémathèque française consacre également une rétrospective intégrale du 2 au 30 mars, en parallèle à la sortie française de The Assassin, en salles le 9 mars.
Après avoir exploré une petite partie de la filmographie de Gosha Hideo en janvier, la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) s'intéresse à Naruse Mikio du 2 au 30 avril !
Après un hommage au cinéma scandinave en 2013, le Festival International du Film du Marrakech mettra le Japon à l’honneur du 5 au 13 décembre 2014.